Oh! pas sûr!laurent41 a écrit :C'est clair que nous à la cambrousse on a bien moins de risques à se faire car-jacker que d'avoir un accident
Fermez vos portières. (Car-Jacking, etc...)
- ALAIN60
- Membre du club
- Messages : 600
- Enregistré le : jeudi 03 mars 2005, 22:34
- Localisation : BEAUVAIS - OISE
-
- Messages : 513
- Enregistré le : dimanche 19 novembre 2006, 08:35
- Localisation : ILE DE FRANCE
bjr bjr
effectivement rien de moins sur ni en RP ni dans la brousse.
Pour ma part je ne sais pas si c'est par de mon physique, je vous rassure je ne fais pas 2m et 130kg, loin de la, mais juste un peu plus basané que d'autre. et en RP, j'ai la paix meme tres tres tard. Je n'ai , heureusement, rencontrer qu'un seul souci de la sorte et cela dans ma cambrousse du coté de pacy sur eure qui est loin d'etre un repère de truand. Il s'est avéré que j'ai reconnu le fils d'une bonne famille du coin qui ne savait pas quoi faire de ces soirée et qui s'occupait de la sorte...
Et depuis fermeture "automatiquement manuelle" dès que je démarre.
Malheureusement, ni le faciès ni le lieu géographique ne peuvent nous mettre en garde.
Le seul critère qui peut nous rassurer est la météo. Dans le froid et sous la pluie, ca a l'air d'etre moins amusant pour ces brigands
effectivement rien de moins sur ni en RP ni dans la brousse.
Pour ma part je ne sais pas si c'est par de mon physique, je vous rassure je ne fais pas 2m et 130kg, loin de la, mais juste un peu plus basané que d'autre. et en RP, j'ai la paix meme tres tres tard. Je n'ai , heureusement, rencontrer qu'un seul souci de la sorte et cela dans ma cambrousse du coté de pacy sur eure qui est loin d'etre un repère de truand. Il s'est avéré que j'ai reconnu le fils d'une bonne famille du coin qui ne savait pas quoi faire de ces soirée et qui s'occupait de la sorte...
Et depuis fermeture "automatiquement manuelle" dès que je démarre.
Malheureusement, ni le faciès ni le lieu géographique ne peuvent nous mettre en garde.
Le seul critère qui peut nous rassurer est la météo. Dans le froid et sous la pluie, ca a l'air d'etre moins amusant pour ces brigands
YS V6. 406 Coupé V6 Pack. 1999. Rouge Ecarlate
- Nicolas
- Messages : 2252
- Enregistré le : samedi 25 août 2007, 09:16
- Localisation : Paris ouest 78
J'ai connu un responsable d'entreprise qui a eu une peur bleue mais le bon réflexe.
Très content de sa M5 V8 toute neuve, c'était en 2000 et lors d'un déplacement professionnel aux alentours de Caen.
Une auto le double et se met à freiner sans raison (rase campagne). Il regarde dans son rétro et voit la voiture de derrière le coller pour le dépasser en une autre encore derrière.... Il a mis la 3ème et a doublé juste avant que son suiveur le double pour le coincer et il a foncé.
J'avais jamais entendu parler de car jacking comme ça avant mais lui disait que c'était fréquent pour les voitures haut de gamme.
Très content de sa M5 V8 toute neuve, c'était en 2000 et lors d'un déplacement professionnel aux alentours de Caen.
Une auto le double et se met à freiner sans raison (rase campagne). Il regarde dans son rétro et voit la voiture de derrière le coller pour le dépasser en une autre encore derrière.... Il a mis la 3ème et a doublé juste avant que son suiveur le double pour le coincer et il a foncé.
J'avais jamais entendu parler de car jacking comme ça avant mais lui disait que c'était fréquent pour les voitures haut de gamme.
406 coupé V6 Pack BVA 1998 Bleu de Byzance -> Vendu
406 coupé Settant'Anni Hadès BVA N°918
406 coupé Settant'Anni Hadès BVA N°918
- Christian
- Membre du club
- Messages : 143
- Enregistré le : lundi 27 septembre 2004, 08:03
- Localisation : I-D-F
- Contact :
Il y en a d'autres qui se sont fait une peur bleue
Ces andouilles ont voulu faire un vol à la portière sur une voiture de.... la BAC !
Policiers victimes d’un vol à la portière : « En 13 ans de BAC... c’est la première fois! »
Bruno, plus de vingt ans de police dont les treize dernières à la brigade anticriminalité, reconnaît n’avoir pas vécu expérience plus cocasse de toute sa carrière.
Dimanche au petit matin, alors qu’il patrouillait à l’Est de Nice au volant d’une voiture banalisée, ce fonctionnaire et trois de ses collègues ont été pris pour cible par des voleurs à la portière (1) !
« Nous remontions la route de Turin à faible allure lorsque nous avons vu, juste devant nous, deux jeunes tenter de commettre un vol à la portière sur des touristes italiens, raconte Bruno. J’ai alors accéléré pour tenter de les interpeller. Mais de suite, ils se sont remis en position. L’un est remonté sur le trottoir tandis que l’autre est allé se cacher dans un fourré, prêt à bondir devant une voiture pour la ralentir. » Et c’est ce qu’il a fait... Devant le véhicule de police !
A peine 16 ans
« Celui qui était resté sur le trottoir a crié pour avertir son collègue du faux pas qu’il venait de commettre. » Trop tard. Les deux jeunes auteurs ont bien tenté de prendre la fuite. En vain. Ils ont été rattrapés par les policiers dans l’enceinte du collège Bon-Voyage. « L’un des deux s’était caché sous une voiture. L’autre avait trouvé refuge dans un petit bosquet. » Les deux sont à peine âgés de 16 ans. Ce qui ne les empêche pas d’être déjà aguerris. Un plus que l’autre qui, au regard de ses précédents faits d’arme, a été placé en détention.
Epilogue bien peu comique d’une affaire qui aurait pu prêter à sourire ? Rien n’est moins sûr. Car les enquêteurs de la brigade de recherche spécialisée veulent désormais s’assurer que les deux jeunes « imprudents » de ce dimanche ne s’en sont pris qu’à des policiers. En fait ce n’était pas un hasard si la BAC (Brigade anti-criminalité) patrouillait dans ce secteur à une heure aussi indue. Plusieurs vols à la portière y avaient été signalés. A chaque fois ils ont été commis au tout petit matin. Cette « coïncidence » de lieu et de temps n’est bien sûr pas une preuve.
En revanche l’idée que ces mêmes mineurs auraient pu s’en prendre à d’autres victimes, bien plus vulnérables que quatre policiers en patrouille, suffit à rendre cette histoire beaucoup moins drôle.
(1) Notre édition d’hier.
E.G.
Nice Matin
Ces andouilles ont voulu faire un vol à la portière sur une voiture de.... la BAC !
Policiers victimes d’un vol à la portière : « En 13 ans de BAC... c’est la première fois! »
Bruno, plus de vingt ans de police dont les treize dernières à la brigade anticriminalité, reconnaît n’avoir pas vécu expérience plus cocasse de toute sa carrière.
Dimanche au petit matin, alors qu’il patrouillait à l’Est de Nice au volant d’une voiture banalisée, ce fonctionnaire et trois de ses collègues ont été pris pour cible par des voleurs à la portière (1) !
« Nous remontions la route de Turin à faible allure lorsque nous avons vu, juste devant nous, deux jeunes tenter de commettre un vol à la portière sur des touristes italiens, raconte Bruno. J’ai alors accéléré pour tenter de les interpeller. Mais de suite, ils se sont remis en position. L’un est remonté sur le trottoir tandis que l’autre est allé se cacher dans un fourré, prêt à bondir devant une voiture pour la ralentir. » Et c’est ce qu’il a fait... Devant le véhicule de police !
A peine 16 ans
« Celui qui était resté sur le trottoir a crié pour avertir son collègue du faux pas qu’il venait de commettre. » Trop tard. Les deux jeunes auteurs ont bien tenté de prendre la fuite. En vain. Ils ont été rattrapés par les policiers dans l’enceinte du collège Bon-Voyage. « L’un des deux s’était caché sous une voiture. L’autre avait trouvé refuge dans un petit bosquet. » Les deux sont à peine âgés de 16 ans. Ce qui ne les empêche pas d’être déjà aguerris. Un plus que l’autre qui, au regard de ses précédents faits d’arme, a été placé en détention.
Epilogue bien peu comique d’une affaire qui aurait pu prêter à sourire ? Rien n’est moins sûr. Car les enquêteurs de la brigade de recherche spécialisée veulent désormais s’assurer que les deux jeunes « imprudents » de ce dimanche ne s’en sont pris qu’à des policiers. En fait ce n’était pas un hasard si la BAC (Brigade anti-criminalité) patrouillait dans ce secteur à une heure aussi indue. Plusieurs vols à la portière y avaient été signalés. A chaque fois ils ont été commis au tout petit matin. Cette « coïncidence » de lieu et de temps n’est bien sûr pas une preuve.
En revanche l’idée que ces mêmes mineurs auraient pu s’en prendre à d’autres victimes, bien plus vulnérables que quatre policiers en patrouille, suffit à rendre cette histoire beaucoup moins drôle.
(1) Notre édition d’hier.
E.G.
Nice Matin
2.2 HDI 07/02 LUCIFER
- Nicolas
- Messages : 2252
- Enregistré le : samedi 25 août 2007, 09:16
- Localisation : Paris ouest 78
Celle là est pas mal aussi
Lundi 24 juillet 2006
Manifestement, il demeurait sur le 9-3 quelques individus pour qui la finale de la coupe du monde ne représentait aucun intérêt. En effet, dans la nuit du 09 au 10 juillet 2006, deux jeunes ont décidé d’aller rendre une visite nocturne à une banque et pour être plus précis, à sa salle des coffres.
Ce local bancaire, ouvert depuis moins de deux ans, se trouve à proximité de plusieurs cités et manifestement, attisaient certaines convoitises… Alors que les Français allaient se coucher le cœur gros de par la défaite de leur équipe fétiche, nos deux compères entraient dans la banque par un minuscule sas réservé aux dépôts des sacs par les convoyeurs. Autant vous dire qu’il ne fallait pas être gros pour se faufiler dans un réduit pas du tout adapté pour le passage d’un homme, même jeune…
Manifestement, le sas avait été dégradé l’avant-veille et réparé plus ou moins par une société. A la vue du procédé de pénétration, c’était plutôt moins…
La première alarme se déclenche à 03h32. A 03h35, mon équipage est sur place en tant que premier intervenant. De l’extérieur, rien de visible. Rien de cassé. La société de surveillance est catégorique: deux individus sont localisés dans la salle des coffres. Mais si rien n’est dégradé de l’extérieur, comment allons nous pénétrer dans la banque ?
A 04h15, une responsable arrive. Paniquée, elle est incapable de nous désigner les clefs qui correspondent aux serrures. Détail qui me marque, nous commençons à être entourés par une trentaine de curieux venus des cités voisines, en vélo, en scooter ou à pieds… Les sifflets se font nombreux et je comprends de suite qu’ils sont là pour nous empêcher de progresser dans la banque et surtout d’interpeller leurs potes.
Mes renforts arrivent, à savoir une douzaine de fonctionnaires de l’Unité qui vont vite “fraternisés” avec nos curieux. Le local bancaire est entouré de policiers. Dès lors, il n ‘y a plus de sortie possible.
La progression se fait. Rien dans les bureaux ni au guichet. Et pourtant, encore une fois, la société de surveillance nous confirme qu’il y a deux intrus dans la banque… Au fond, effectivement, une pièce a été saccagée. Nous pénétrons tant bien que mal dans ce réduit visité mais il n’y a personne !!!
Aurions nous raté l’immanquable? Seul demeure inviolé un coffre-fort de forte stature qu’il nous est impossible d’ouvrir car tout le système électrique a été saccagé. Je dois me résoudre à libérer mes fonctionnaires car maintenant la fin de service a été largement dépassée et moi, comme on dit, je dois me mettre à la bécane! Pourtant, j’ en étais sûr, les deux individus étaient au milieu de nous. Mais où ?
Les relèves se mettent en place afin que les constatations se fassent normalement. Voilà, c’est fini !
Ah oui, j’oubliais… A 09h30, les deux individus seront libérés du coffre-fort et interpellés après plus de 06h00 enfermés à l’intérieur. Pour eux, ce n’est pas encore l’heure des vacances ou à l’ombre alors !!!
Lundi 24 juillet 2006
Manifestement, il demeurait sur le 9-3 quelques individus pour qui la finale de la coupe du monde ne représentait aucun intérêt. En effet, dans la nuit du 09 au 10 juillet 2006, deux jeunes ont décidé d’aller rendre une visite nocturne à une banque et pour être plus précis, à sa salle des coffres.
Ce local bancaire, ouvert depuis moins de deux ans, se trouve à proximité de plusieurs cités et manifestement, attisaient certaines convoitises… Alors que les Français allaient se coucher le cœur gros de par la défaite de leur équipe fétiche, nos deux compères entraient dans la banque par un minuscule sas réservé aux dépôts des sacs par les convoyeurs. Autant vous dire qu’il ne fallait pas être gros pour se faufiler dans un réduit pas du tout adapté pour le passage d’un homme, même jeune…
Manifestement, le sas avait été dégradé l’avant-veille et réparé plus ou moins par une société. A la vue du procédé de pénétration, c’était plutôt moins…
La première alarme se déclenche à 03h32. A 03h35, mon équipage est sur place en tant que premier intervenant. De l’extérieur, rien de visible. Rien de cassé. La société de surveillance est catégorique: deux individus sont localisés dans la salle des coffres. Mais si rien n’est dégradé de l’extérieur, comment allons nous pénétrer dans la banque ?
A 04h15, une responsable arrive. Paniquée, elle est incapable de nous désigner les clefs qui correspondent aux serrures. Détail qui me marque, nous commençons à être entourés par une trentaine de curieux venus des cités voisines, en vélo, en scooter ou à pieds… Les sifflets se font nombreux et je comprends de suite qu’ils sont là pour nous empêcher de progresser dans la banque et surtout d’interpeller leurs potes.
Mes renforts arrivent, à savoir une douzaine de fonctionnaires de l’Unité qui vont vite “fraternisés” avec nos curieux. Le local bancaire est entouré de policiers. Dès lors, il n ‘y a plus de sortie possible.
La progression se fait. Rien dans les bureaux ni au guichet. Et pourtant, encore une fois, la société de surveillance nous confirme qu’il y a deux intrus dans la banque… Au fond, effectivement, une pièce a été saccagée. Nous pénétrons tant bien que mal dans ce réduit visité mais il n’y a personne !!!
Aurions nous raté l’immanquable? Seul demeure inviolé un coffre-fort de forte stature qu’il nous est impossible d’ouvrir car tout le système électrique a été saccagé. Je dois me résoudre à libérer mes fonctionnaires car maintenant la fin de service a été largement dépassée et moi, comme on dit, je dois me mettre à la bécane! Pourtant, j’ en étais sûr, les deux individus étaient au milieu de nous. Mais où ?
Les relèves se mettent en place afin que les constatations se fassent normalement. Voilà, c’est fini !
Ah oui, j’oubliais… A 09h30, les deux individus seront libérés du coffre-fort et interpellés après plus de 06h00 enfermés à l’intérieur. Pour eux, ce n’est pas encore l’heure des vacances ou à l’ombre alors !!!
406 coupé V6 Pack BVA 1998 Bleu de Byzance -> Vendu
406 coupé Settant'Anni Hadès BVA N°918
406 coupé Settant'Anni Hadès BVA N°918
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 1 invité