Revue de Presse
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Revue de Presse
Ce sujet vient d'être réinitialisé et le sera périodiquement. Il n'y a aucun intérêt à garder un historique sur un thème fortement lié à l'actualité. De plus nous cherchons à réduire la taille du forum pour éviter des engorgements sur notre base de données qui génèrent des interruptions de fonctionnement.
Merci pour votre compréhension.
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Re: Revue de Presse
Heuliez présentera la nouvelle Méhari au Mondial
Si tout va bien, Heuliez la produira à raison de 1500 /an d'ici l'année prochaine. Il s'agit d'un nouveau concept de Méhari, en polymère thermoformé, avec de nombreux éléments fournis par Renault.
Un nouveau constructeur automobile français dans le hall 1 du Mondial ? C’est la promesse que nous fait la société GTF-Innovations, fondée en 2004 par 3 associés, dont l’ancien responsable produit de Matra Automobile, Frédéric Bachelier. Depuis cette date, les trois passionnés travaillent sur leur projet Cellulo, un véhicule qui sera présentée pour la première fois au Mondial et qui devrait être livrable en fin d’année. "Nous avons commencé le processus d’homologation il y a deux mois, et nous devrions arriver au bout d'ici un mois", explique Alain Vautcranne, en charge du marketing. "Cela n'a pu se faire que grâce aux nombreux contacts que nous avons avec l'Utac depuis un an".
Une carrosserie en polymère thermoformé
Le descriptif du véhicule le rapproche du concept de la Méhari : un véhicule de loisirs de 4 m de long accueillant 4 personnes, couvert "par défaut" d’une capote en toile, constitué d’une carrosserie en polymère thermoformé*, teintée dans la masse et 100 % recyclable. "La matière ressemble à de la tôle peinte mais ne s’altère pas lors de petits chocs ou de micro -rayures", souligne notre interlocuteur. Le pare-brise fourni par St-Gobain est assez droit pour autoriser une hauteur de ciel de toit élevé et permettre aux passagers arrière de passer sous l’arceau. Le véhicule sera équipé d’un 4 cylindres essence 1,4 sans malus, d’origine Renault, fournisseur de l’ensemble mécanique, des trains roulants et des faisceaux électriques. Le châssis est fait maison, avec l’aide du groupe Piroux. L’assemblage sera confié à Heuliez, à raison d’une dizaine de véhicules par jour, soit 1 500 à 2 000 véhicules/an. Le constructeur, qui sort d’une procédure de sauvegarde, va pouvoir consacrer une trentaine de salariés à cette production. C’est sur son stand que le véhicule sera exposé dans sa livrée "macaron ambré", c'est à dire marron doré.
L'achat coup de coeur d'une clientèle aisée
Le véhicule devrait être bien plus confortable et mieux équipé que la Méhari, à en croire le prix qui nous est indiqué, "de l’ordre de 18 000 euros, avec un système audio, des jantes alu et une finition haut de gamme". Un prix qui semble élevé mais, rappelle Alain Vautcranne, "La Méhari était 30 % plus chère que la 2 CV. En outre, nous comptons sur l’achat coup de cœur d’une clientèle aisée". Le principe est que cette clientèle laisse le véhicule dans sa résidence secondaire pour un usage occasionnel et de loisirs.
Pourtant, une autre tentative de faire revivre le concept Méhari a été un échec cuisant : La Fargo, lancée en 2003, n’a été produite qu’à 60 exemplaires (pour un objectif de production de 1500 unités) malgré son prix attrayant de 11 000 euros. "Ce prix était justement trop bas pour rentabiliser la Fargo qui a subit des surcoûts liés à une mauvaise gestion des contraintes d’homologation", analyse notre interlocuteur qui s’est naturellement penché sur cet échec. "La distribution et le réseau d’après-vente sont aussi déterminants. Nous sommes en discussion avec un réseau d’agents de marque pour disposer de 30 à 50 distributeurs d’ici la fin de l’année".
Source : Autoactu.com
Si tout va bien, Heuliez la produira à raison de 1500 /an d'ici l'année prochaine. Il s'agit d'un nouveau concept de Méhari, en polymère thermoformé, avec de nombreux éléments fournis par Renault.
Un nouveau constructeur automobile français dans le hall 1 du Mondial ? C’est la promesse que nous fait la société GTF-Innovations, fondée en 2004 par 3 associés, dont l’ancien responsable produit de Matra Automobile, Frédéric Bachelier. Depuis cette date, les trois passionnés travaillent sur leur projet Cellulo, un véhicule qui sera présentée pour la première fois au Mondial et qui devrait être livrable en fin d’année. "Nous avons commencé le processus d’homologation il y a deux mois, et nous devrions arriver au bout d'ici un mois", explique Alain Vautcranne, en charge du marketing. "Cela n'a pu se faire que grâce aux nombreux contacts que nous avons avec l'Utac depuis un an".
Une carrosserie en polymère thermoformé
Le descriptif du véhicule le rapproche du concept de la Méhari : un véhicule de loisirs de 4 m de long accueillant 4 personnes, couvert "par défaut" d’une capote en toile, constitué d’une carrosserie en polymère thermoformé*, teintée dans la masse et 100 % recyclable. "La matière ressemble à de la tôle peinte mais ne s’altère pas lors de petits chocs ou de micro -rayures", souligne notre interlocuteur. Le pare-brise fourni par St-Gobain est assez droit pour autoriser une hauteur de ciel de toit élevé et permettre aux passagers arrière de passer sous l’arceau. Le véhicule sera équipé d’un 4 cylindres essence 1,4 sans malus, d’origine Renault, fournisseur de l’ensemble mécanique, des trains roulants et des faisceaux électriques. Le châssis est fait maison, avec l’aide du groupe Piroux. L’assemblage sera confié à Heuliez, à raison d’une dizaine de véhicules par jour, soit 1 500 à 2 000 véhicules/an. Le constructeur, qui sort d’une procédure de sauvegarde, va pouvoir consacrer une trentaine de salariés à cette production. C’est sur son stand que le véhicule sera exposé dans sa livrée "macaron ambré", c'est à dire marron doré.
L'achat coup de coeur d'une clientèle aisée
Le véhicule devrait être bien plus confortable et mieux équipé que la Méhari, à en croire le prix qui nous est indiqué, "de l’ordre de 18 000 euros, avec un système audio, des jantes alu et une finition haut de gamme". Un prix qui semble élevé mais, rappelle Alain Vautcranne, "La Méhari était 30 % plus chère que la 2 CV. En outre, nous comptons sur l’achat coup de cœur d’une clientèle aisée". Le principe est que cette clientèle laisse le véhicule dans sa résidence secondaire pour un usage occasionnel et de loisirs.
Pourtant, une autre tentative de faire revivre le concept Méhari a été un échec cuisant : La Fargo, lancée en 2003, n’a été produite qu’à 60 exemplaires (pour un objectif de production de 1500 unités) malgré son prix attrayant de 11 000 euros. "Ce prix était justement trop bas pour rentabiliser la Fargo qui a subit des surcoûts liés à une mauvaise gestion des contraintes d’homologation", analyse notre interlocuteur qui s’est naturellement penché sur cet échec. "La distribution et le réseau d’après-vente sont aussi déterminants. Nous sommes en discussion avec un réseau d’agents de marque pour disposer de 30 à 50 distributeurs d’ici la fin de l’année".
Source : Autoactu.com
- bobby
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Re: Revue de Presse
Cent dix ans de Salon automobile
AUX ORIGINES DU MONDIAL DE L’AUTO
La passion des Français pour les expositions automobiles n’est pas chose nouvelle puisqu’elle se manifeste pour la première fois de manière organisée en 1898, à l’initiative de l’Automobile Club de France. L’exposition de voitures qu’il organise au Jardin des Tuileries réunit près de 140 000 visiteurs – soit dix fois moins que l’actuel Mondial -, ce qui constitue toutefois pour l’époque une belle réussite. Seules les voitures ayant réussi à rallier Versailles depuis Paris avaient gagné leur ticket d’entrée.
Les expositions qui suivent attirent toujours plus de monde et le salon déménage au Grand Palais où il est vite à l’étroit. Il émigre alors Cours de la Reine sur les bords de la Seine. La Guerre 1914-18 passe et le Salon de l’Automobile adopte ce nom pour sa réouverture en 1919. Celui-ci voit l’avènement, en France, du travail à la chaîne chez les constructeurs. A la Ford T de 1913 répond la Citroën Type A de 1919.
En 1920 comme en 1909, l’automobile ne fait pas salon pour des disensions entre organisateurs : l'auto déchaîne déjà les passions ! En 1925, c’est l’exposition des Arts Décoratifs qui lui vole la vedette. Signe de temps, les voitures populaires conçues à la chaîne cohabitent pendant plusieurs décennies avec de très exclusifs modèles rendus encore plus désirables par des artisans carrossiers tels Saoutchik, Labourdette, Letourneur et Marchand, Figoni et Falaschi… qui sont autant d’artistes ! En 1927, signe de démocratisation, l’accès aux stands du salon est désormais libre.
DE L’APRES-GUERRE AUX CHOCS PETROLIERS
En 1946, le Salon accueille près de 80 000 visiteurs par jours – contre 100 000 aujourd’hui -, la guerre ayant mis la passion automobile de bon nombre de Français en sommeil. En 1950, le salon est écartelé entre le Grand Palais et la Porte de Versailles avant de se fixer à cette dernière adresse en 1962. Il y gagne une exposition thématique qui réjouit chaque année les visiteurs. En 1955, la fréquentation du Salon de l’Automobile dépasse la barre du million de visiteurs. Il faut dire que cette année-là, Citroën exposait sa révolutionnaire DS 19 !
Les années 60 font la part belle aux voitures de grandes séries et s'adaptent aux désirs des automobilistes qui rêvent de loisirs. Les constructeurs français brillent en la matière notamment la Régie avec ses Renault 4 en 1961, ou sa R16 quatre ans plus tard et Citroën avec l’Ami 6 au début des années 60 et la Dyane en 1967. Mais, le premier choc pétrolier de 1973 fait l’effet d’une douche froide sur le marché automobile. La Renault 5 apparue en 1972 et la Volkswagen Golf née en 1974 connaîtront malgré tout un succès retentissant.
Devenu biennal en 1976 et rebaptisé Mondial de l’automobile de Paris en 1988, cet événement pourrait bien voir cette année, comme après les deux chocs pétrolier de 1973 et 1979, eu égard à la flambée du prix des carburants et au réchauffement planétaire, les voitures sobres et propres, hybrides ou pas, voler la vedette à toutes les nouveautés annoncées par les constructeurs depuis la nouvelle Ferrari California jusqu’à la Peugeot 308 CC en passant par le Citroën C3 Picasso ou le BMW X1. Une chose est sûre. Le Mondial 2008 attirera toujours autant de curieux, d’enthousiastes et de passionnés.
Source Autonews.fr
AUX ORIGINES DU MONDIAL DE L’AUTO
La passion des Français pour les expositions automobiles n’est pas chose nouvelle puisqu’elle se manifeste pour la première fois de manière organisée en 1898, à l’initiative de l’Automobile Club de France. L’exposition de voitures qu’il organise au Jardin des Tuileries réunit près de 140 000 visiteurs – soit dix fois moins que l’actuel Mondial -, ce qui constitue toutefois pour l’époque une belle réussite. Seules les voitures ayant réussi à rallier Versailles depuis Paris avaient gagné leur ticket d’entrée.
Les expositions qui suivent attirent toujours plus de monde et le salon déménage au Grand Palais où il est vite à l’étroit. Il émigre alors Cours de la Reine sur les bords de la Seine. La Guerre 1914-18 passe et le Salon de l’Automobile adopte ce nom pour sa réouverture en 1919. Celui-ci voit l’avènement, en France, du travail à la chaîne chez les constructeurs. A la Ford T de 1913 répond la Citroën Type A de 1919.
En 1920 comme en 1909, l’automobile ne fait pas salon pour des disensions entre organisateurs : l'auto déchaîne déjà les passions ! En 1925, c’est l’exposition des Arts Décoratifs qui lui vole la vedette. Signe de temps, les voitures populaires conçues à la chaîne cohabitent pendant plusieurs décennies avec de très exclusifs modèles rendus encore plus désirables par des artisans carrossiers tels Saoutchik, Labourdette, Letourneur et Marchand, Figoni et Falaschi… qui sont autant d’artistes ! En 1927, signe de démocratisation, l’accès aux stands du salon est désormais libre.
DE L’APRES-GUERRE AUX CHOCS PETROLIERS
En 1946, le Salon accueille près de 80 000 visiteurs par jours – contre 100 000 aujourd’hui -, la guerre ayant mis la passion automobile de bon nombre de Français en sommeil. En 1950, le salon est écartelé entre le Grand Palais et la Porte de Versailles avant de se fixer à cette dernière adresse en 1962. Il y gagne une exposition thématique qui réjouit chaque année les visiteurs. En 1955, la fréquentation du Salon de l’Automobile dépasse la barre du million de visiteurs. Il faut dire que cette année-là, Citroën exposait sa révolutionnaire DS 19 !
Les années 60 font la part belle aux voitures de grandes séries et s'adaptent aux désirs des automobilistes qui rêvent de loisirs. Les constructeurs français brillent en la matière notamment la Régie avec ses Renault 4 en 1961, ou sa R16 quatre ans plus tard et Citroën avec l’Ami 6 au début des années 60 et la Dyane en 1967. Mais, le premier choc pétrolier de 1973 fait l’effet d’une douche froide sur le marché automobile. La Renault 5 apparue en 1972 et la Volkswagen Golf née en 1974 connaîtront malgré tout un succès retentissant.
Devenu biennal en 1976 et rebaptisé Mondial de l’automobile de Paris en 1988, cet événement pourrait bien voir cette année, comme après les deux chocs pétrolier de 1973 et 1979, eu égard à la flambée du prix des carburants et au réchauffement planétaire, les voitures sobres et propres, hybrides ou pas, voler la vedette à toutes les nouveautés annoncées par les constructeurs depuis la nouvelle Ferrari California jusqu’à la Peugeot 308 CC en passant par le Citroën C3 Picasso ou le BMW X1. Une chose est sûre. Le Mondial 2008 attirera toujours autant de curieux, d’enthousiastes et de passionnés.
Source Autonews.fr
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Re: Revue de Presse
Mondial de l'Automobile : Citroën Hypnos
A quelques semaines de l’ouverture du Mondial de l’Automobile, Citroën dévoile les premiers visuels de son concept-car baptisé Hypnos. Peu d’informations encore à ce jour sur le concept, tout juste sait-on qu’il s’agit d’un coupé cross-over à la robe très élégante. Sous le capot de l’étude aux Chevrons, une motorisation hybride qui fait la part belle à la frugalité, avec des consommations annoncés à 4,5 l/100 km et des rejets de CO2/km de 120 g/km. Ainsi, après le superbe C-Métisse, c’est au tour de l’Hypnos de faire une arrivée en fanfare dans la cour des concepts-cars qui en mettent plein les yeux. Et ensuite ?
Ca va être, c’est sur, un peu la surenchère. C’est à qui divulguera en exclusivité à la presse les premières photos des nouveautés qui seront ensuite visibles sur les stands. Histoire d’attiser la curiosité de la presse et du public, à quelques jours maintenant du coup d’envoi du Mondial de l’Automobile. Et PSA n’est pas parmi les derniers à montrer les crocs, avec il y a peu chez Peugeot le Concept RC et aujourd’hui donc, le concept Hypnos chez le cousin Citroën.
Si les informations ont été divulguées au compte-gouttes par Citroën, on peut tout de même, à la vue du premier cliché, s’apercevoir que l’Hypnos est un cross-over élégant et probablement d’un gabarit fort respectable. Passages de roues marqués, lignes fluides et galbées et poupe tronquée, la sportivité est ainsi également au rendez-vous. Dans la veine stylistique finalement du C-Métisse, précédente étude « haut de gamme » de Citroën. Sous le capot, Citroën annonce pour son Hypnos une motorisation hybride de haute volée qui allie consommations réduites (4,5 l/100 km) et des rejets de CO2 très bien contenus : 120 g/km. Pas plus de détails, tout le reste sera à découvrir au Mondial.
Info ou intox ?
Le seul visuel de l’habitacle de l’Hypnos montre une espèce de kaléidoscope aux couleurs criardes et aux formes biscornues, plus proche d’un décor des milles et une nuits que d’un intérieur d’automobile. Reste maintenant plusieurs questions en suspens : l’hypnos annonce-t-il l’arrivée imminente de la marque aux chevrons sur un nouveau segment, par exemple celui des SUV urbains Premium ? Préfigure-t-il, dans une certaine mesure, le style de la remplaçante de la grande C6 ? Plus sûrement, l’Hypnos annonce les codes stylistiques plus classieux dans lesquels entend s’engouffrer Citroën à l’avenir, comme en atteste la dernière C5. Enfin, pour l’anecdote, Hypnos était dans la mythologie grecque le Dieu du sommeil : prions pour que l’éponyme de Citroën n’hiberne pas Ad vitam eternam.
Source : Autonews.com
A quelques semaines de l’ouverture du Mondial de l’Automobile, Citroën dévoile les premiers visuels de son concept-car baptisé Hypnos. Peu d’informations encore à ce jour sur le concept, tout juste sait-on qu’il s’agit d’un coupé cross-over à la robe très élégante. Sous le capot de l’étude aux Chevrons, une motorisation hybride qui fait la part belle à la frugalité, avec des consommations annoncés à 4,5 l/100 km et des rejets de CO2/km de 120 g/km. Ainsi, après le superbe C-Métisse, c’est au tour de l’Hypnos de faire une arrivée en fanfare dans la cour des concepts-cars qui en mettent plein les yeux. Et ensuite ?
Ca va être, c’est sur, un peu la surenchère. C’est à qui divulguera en exclusivité à la presse les premières photos des nouveautés qui seront ensuite visibles sur les stands. Histoire d’attiser la curiosité de la presse et du public, à quelques jours maintenant du coup d’envoi du Mondial de l’Automobile. Et PSA n’est pas parmi les derniers à montrer les crocs, avec il y a peu chez Peugeot le Concept RC et aujourd’hui donc, le concept Hypnos chez le cousin Citroën.
Si les informations ont été divulguées au compte-gouttes par Citroën, on peut tout de même, à la vue du premier cliché, s’apercevoir que l’Hypnos est un cross-over élégant et probablement d’un gabarit fort respectable. Passages de roues marqués, lignes fluides et galbées et poupe tronquée, la sportivité est ainsi également au rendez-vous. Dans la veine stylistique finalement du C-Métisse, précédente étude « haut de gamme » de Citroën. Sous le capot, Citroën annonce pour son Hypnos une motorisation hybride de haute volée qui allie consommations réduites (4,5 l/100 km) et des rejets de CO2 très bien contenus : 120 g/km. Pas plus de détails, tout le reste sera à découvrir au Mondial.
Info ou intox ?
Le seul visuel de l’habitacle de l’Hypnos montre une espèce de kaléidoscope aux couleurs criardes et aux formes biscornues, plus proche d’un décor des milles et une nuits que d’un intérieur d’automobile. Reste maintenant plusieurs questions en suspens : l’hypnos annonce-t-il l’arrivée imminente de la marque aux chevrons sur un nouveau segment, par exemple celui des SUV urbains Premium ? Préfigure-t-il, dans une certaine mesure, le style de la remplaçante de la grande C6 ? Plus sûrement, l’Hypnos annonce les codes stylistiques plus classieux dans lesquels entend s’engouffrer Citroën à l’avenir, comme en atteste la dernière C5. Enfin, pour l’anecdote, Hypnos était dans la mythologie grecque le Dieu du sommeil : prions pour que l’éponyme de Citroën n’hiberne pas Ad vitam eternam.
Source : Autonews.com
- bobby
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Re: Revue de Presse
Pininfarina Rolls Royce Hypérion
Ils n'ont pas perdu "la main" chez Pininfarina en recarossant une Rolls-Royce Drophead Coupé.
http://archive.autonews.fr/fr/cmc/nouve ... 54189.html
Ils n'ont pas perdu "la main" chez Pininfarina en recarossant une Rolls-Royce Drophead Coupé.
http://archive.autonews.fr/fr/cmc/nouve ... 54189.html
- PhR
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Re: Revue de Presse
Magnifique !
Encore un Philippe, Aixois déraciné au pays où les marmottes emballent le chocolat dans du papier alu.
- JEAN-LOU
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Re: Revue de Presse
superbe, elle ressemble à un coupé 406, enfin la couleur
- bobby
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Re: Revue de Presse
Mondial de l'automobile : Ferrari l'écolo
Mythe automobile s'il en est, Ferrari rime avec plaisir, sensations et exclusivité. Le patronyme rendu célèbre par le Commandatore Enzo pourrait bien, dans les années à venir, rimer avec écologie, même si cette perspective fait pousser de hauts cris aux puristes et autres inconditionnels de la marque de Maranello. Luca Cordero di Montezemolo, le patron de Fiat et de la marque au Cheval cabré, a en effet récemment annoncé au journal allemand Welt am Sonntag que Ferrari mettait tout en place pour que la quantité de CO2 émise par ses bolides soit réduite de 40 % d’ici quatre ans. Il n’a pas exclu que ces splendides véhicules puissent un jour rouler grâce à des sources d’énergie alternatives. Une révolution… dont la marque apportera peut-être quelques preuves tangibles au Mondial de Paris.
Nul doute qu’on se bousculera, dès l’ouverture des portes du Mondial de Paris, le 4 octobre prochain, sur le stand Bolloré où l’industriel associé depuis fin 2007 avec le groupe PininFarina devrait présenter sa voiture 100 % électrique. Fonctionnant grâce à une batterie lithium métal polymère mise au point par la société batScap appartenant au groupe Bolloré, cette quatre places – quand la Blue Car était pourvue de trois sièges fixes et de deux strapontins – offrira une autonomie de 250 km en parcours urbain.
Ne nécessitant que 5h pour être totalement rechargée, cette voiture propre pourrait être commercialisée – comme le concept à pile à combustible de Honda, le FCX Clarity, dans le Sud de la Californie – en leasing. Les premières livraisons sont prévues pour juin 2009. Les visiteurs du Mondial de Paris pourront peut-être également observer la citadine Think, autre électrique, qui vient d'être dévoilée au Salon de Londres. Cette voiture qui n'émet ni CO2, ni particules, s'avère particulièrement économique puisqu'elle permet de parcourir 100 km pour seulement 0,78 euro d'électricité !
Pour tous les goûts
Honda pourrait bien exposer à la Porte de Versailles, aux côtés de son concept OSM à faibles émissions aperçu à Londres, un hybride dans l’esprit du FCX Clarity pour concurrencer la Prius ainsi que le coupé sport également hybride baptisé CR-Z. Autre véhicule fonctionnant à l'aide d'un moteur électrique alimenté par ce biais, le Scenic ZEV H2, développé par l’Alliance Renault-Nissan sur la base d’un Grand Scenic, devrait également être de la partie au Mondial. Rehaussé de 60 mm par rapport à un Scenic classique pour accueillir la batterie lithium-ion et le réservoir à hydrogène haute pression, ce prototype ne rejette que de la vapeur d’eau. Il faudra aussi compter avec l’utilitaire électrique Quicc, la nouvelle Ford Ka mild-hybrid, ainsi qu’avec les Venturi, depuis la petite Eclectic, véhicule urbain électro-solaire à trois places, jusqu’à la racée Fetish 2009, roadster électrique - branché à double titre, donc ! - de plus de 300 ch.
Tout simplement sobres
Pour être propre, il n’est cependant pas absolument nécessaire d’être une hybride. Ainsi, la Chevrolet Cruze, berline dotée d’un bloc turbo 1.4 de 140 ch qui fera ses premiers tours de roues à la Porte de Versailles, ne consommerait que 5,2 l/100 km - soit à peine plus que la Prius II dont la consommation s’établit à 5,1 l/100 km et que la Honda Civic Hybrid qui affiche 4,9 l/100 km -, et ceci sans hybridation ! Remarquable sobriété ! Peu gourmande sera également la Lotus Eco Elise, plus légère de 35 kilos qu'une Elise traditionnelle et arborant sur son tableau de bord un indicateur du rapport le mieux adapté à la vitesse de la voiture, gage d'une conduite plus économe et donc plus " verte " !
Il faudra également compter sur les citadines peu gourmandes comme la Ford Fiesta ECOnetic qui s’exposait au British Motor Show de Londres et n’a besoin, avec son bloc 1.6 de 90 ch, que de 3,7 l d’essence pour parcourir 100 km ! Sans oublier les voitures au GPL - comme la Chevrolet Aveo EcoPack -, carburant qui a de nouveau le vent en poupe, celles fonctionnant à l'hydrogène - à l'instar de la BMW Hydrogen7 - ou celles roulant à l'air comprimé comme les CATs de l'inventeur et chef de l'entreprise MDI, M. Nègre. Qui dit mieux ? Le Mondial de l’automobile de Paris s’annonce plus que jamais riche en surprises…
Source : Autonews.com
Mythe automobile s'il en est, Ferrari rime avec plaisir, sensations et exclusivité. Le patronyme rendu célèbre par le Commandatore Enzo pourrait bien, dans les années à venir, rimer avec écologie, même si cette perspective fait pousser de hauts cris aux puristes et autres inconditionnels de la marque de Maranello. Luca Cordero di Montezemolo, le patron de Fiat et de la marque au Cheval cabré, a en effet récemment annoncé au journal allemand Welt am Sonntag que Ferrari mettait tout en place pour que la quantité de CO2 émise par ses bolides soit réduite de 40 % d’ici quatre ans. Il n’a pas exclu que ces splendides véhicules puissent un jour rouler grâce à des sources d’énergie alternatives. Une révolution… dont la marque apportera peut-être quelques preuves tangibles au Mondial de Paris.
Nul doute qu’on se bousculera, dès l’ouverture des portes du Mondial de Paris, le 4 octobre prochain, sur le stand Bolloré où l’industriel associé depuis fin 2007 avec le groupe PininFarina devrait présenter sa voiture 100 % électrique. Fonctionnant grâce à une batterie lithium métal polymère mise au point par la société batScap appartenant au groupe Bolloré, cette quatre places – quand la Blue Car était pourvue de trois sièges fixes et de deux strapontins – offrira une autonomie de 250 km en parcours urbain.
Ne nécessitant que 5h pour être totalement rechargée, cette voiture propre pourrait être commercialisée – comme le concept à pile à combustible de Honda, le FCX Clarity, dans le Sud de la Californie – en leasing. Les premières livraisons sont prévues pour juin 2009. Les visiteurs du Mondial de Paris pourront peut-être également observer la citadine Think, autre électrique, qui vient d'être dévoilée au Salon de Londres. Cette voiture qui n'émet ni CO2, ni particules, s'avère particulièrement économique puisqu'elle permet de parcourir 100 km pour seulement 0,78 euro d'électricité !
Pour tous les goûts
Honda pourrait bien exposer à la Porte de Versailles, aux côtés de son concept OSM à faibles émissions aperçu à Londres, un hybride dans l’esprit du FCX Clarity pour concurrencer la Prius ainsi que le coupé sport également hybride baptisé CR-Z. Autre véhicule fonctionnant à l'aide d'un moteur électrique alimenté par ce biais, le Scenic ZEV H2, développé par l’Alliance Renault-Nissan sur la base d’un Grand Scenic, devrait également être de la partie au Mondial. Rehaussé de 60 mm par rapport à un Scenic classique pour accueillir la batterie lithium-ion et le réservoir à hydrogène haute pression, ce prototype ne rejette que de la vapeur d’eau. Il faudra aussi compter avec l’utilitaire électrique Quicc, la nouvelle Ford Ka mild-hybrid, ainsi qu’avec les Venturi, depuis la petite Eclectic, véhicule urbain électro-solaire à trois places, jusqu’à la racée Fetish 2009, roadster électrique - branché à double titre, donc ! - de plus de 300 ch.
Tout simplement sobres
Pour être propre, il n’est cependant pas absolument nécessaire d’être une hybride. Ainsi, la Chevrolet Cruze, berline dotée d’un bloc turbo 1.4 de 140 ch qui fera ses premiers tours de roues à la Porte de Versailles, ne consommerait que 5,2 l/100 km - soit à peine plus que la Prius II dont la consommation s’établit à 5,1 l/100 km et que la Honda Civic Hybrid qui affiche 4,9 l/100 km -, et ceci sans hybridation ! Remarquable sobriété ! Peu gourmande sera également la Lotus Eco Elise, plus légère de 35 kilos qu'une Elise traditionnelle et arborant sur son tableau de bord un indicateur du rapport le mieux adapté à la vitesse de la voiture, gage d'une conduite plus économe et donc plus " verte " !
Il faudra également compter sur les citadines peu gourmandes comme la Ford Fiesta ECOnetic qui s’exposait au British Motor Show de Londres et n’a besoin, avec son bloc 1.6 de 90 ch, que de 3,7 l d’essence pour parcourir 100 km ! Sans oublier les voitures au GPL - comme la Chevrolet Aveo EcoPack -, carburant qui a de nouveau le vent en poupe, celles fonctionnant à l'hydrogène - à l'instar de la BMW Hydrogen7 - ou celles roulant à l'air comprimé comme les CATs de l'inventeur et chef de l'entreprise MDI, M. Nègre. Qui dit mieux ? Le Mondial de l’automobile de Paris s’annonce plus que jamais riche en surprises…
Source : Autonews.com
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Re: Revue de Presse
Renault vient de dévoiler son futur best-seller
http://fr.cars.yahoo.com/09092008/321/t ... toi-0.html
Je trouve qu'à l'inverse du coupé laguna, le concept-car n'arrive pas à la hauteur du modèle de série.
Vivement le salon qu'on voit ça en vrai
http://fr.cars.yahoo.com/09092008/321/t ... toi-0.html
Je trouve qu'à l'inverse du coupé laguna, le concept-car n'arrive pas à la hauteur du modèle de série.
Vivement le salon qu'on voit ça en vrai
406 coupé V6 Pack BVA 1998 Bleu de Byzance -> Vendu
406 coupé Settant'Anni Hadès BVA N°918
406 coupé Settant'Anni Hadès BVA N°918
Re: Revue de Presse
Renault ne peut pas se planter avec ce modèle qui, jusqu'à présent, représente 30% de ses ventes tant en France que dans toute l'Europe.Nicolas-77 a écrit :Renault vient de dévoiler son futur best-seller
http://fr.cars.yahoo.com/09092008/321/t ... toi-0.html
Je trouve qu'à l'inverse du coupé laguna, le concept-car n'arrive pas à la hauteur du modèle de série.
Vivement le salon qu'on voit ça en vrai
Ceci dit, il a tout pour être consensuel : J'ai l'impression d'y trouver au moins trois autres modèles concurrents connus, en fonction de ce que l'on regarde l'avant, l'arrière ou le profil...
- bobby
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Re: Revue de Presse
Elephant Bleu lance le lavage automatique dans ses stations
Le groupe Hypromat ajoute à ses stations de lavage haute pression en libre-service Elephant Bleu une offre de lavage automatique. Le groupe part ainsi à la conquête des 39% de parts de marché que représentent les utilisateurs des portiques et rouleaux.
Historiquement opposée au système de lavage automatique et née de cette opposition, l’enseigne Elephant Bleu revient sur ses principes et lance à son tour une solution de lavage automatique.
D’ici la fin de l’année, 13 sites de l’enseigne (sur 519 en France), dont 9 de ses sites en propre, seront dotés d’un ou deux portiques à brosses automatiques. "Le déploiement de cette nouvelle solution de lavage se fera ensuite à un rythme annuel de 15 à 25 nouveaux portiques installés", estime Patrick Mary, directeur du développement d’Elephant Bleu.
Contrainte de se rapprocher des zones commerciales et notamment des grandes et moyennes surfaces de distribution pour continuer son développement, où le coût du foncier est très élevé, l’enseigne devait trouver un moyen d’augmenter le chiffre d’affaires de ses centres et leur rentabilité. Or, si le lavage automatique est moins prisé que le lavage haute pression (55% des lavages contre 39% pour les portiques), il est beaucoup plus générateur de chiffre d’affaires. En effet, un portique à brosses génère le triple du chiffre d’affaires d’une piste de lavage haute pression, soit 60 000 euros par an.
"Et surtout il ne touche pas la même clientèle", précise M. Mary qui s’appuie sur plusieurs études menées par TNS Sofres. "La clientèle des portiques est une clientèle souvent plus aisée que celle du lavage haute pression et qui souhaite déléguer. Ce sont également beaucoup de femmes. Il n’y a donc pas de risque de cannibalisation de la clientèle d’un système par l’autre." Le groupe espère donc conquérir une nouvelle cible de clientèle parmi les clients traditionnels des professionnels proposant des portiques à brosses.
A noter enfin que pour ne pas trahir son image d’enseigne responsable construite sur le lavage haute pression (plus économe en eau), l’enseigne a mis au point une solution "mixant" le concept du portique à rouleau et les avantages économiques et environnementaux du lavage haute pression. "Nous utilisons la haute pression pour prélaver le véhicule et nettoyer les brosses avant leur passage sur la carrosserie. Le rinçage se fait ensuite à l’eau déminéralisée que nous obtenons grâce aux équipements de recyclage de l’eau. Nous restons ainsi fidèle à nos engagements de qualité et de respect de l’environnement."
Source : Autoactu.com
Le groupe Hypromat ajoute à ses stations de lavage haute pression en libre-service Elephant Bleu une offre de lavage automatique. Le groupe part ainsi à la conquête des 39% de parts de marché que représentent les utilisateurs des portiques et rouleaux.
Historiquement opposée au système de lavage automatique et née de cette opposition, l’enseigne Elephant Bleu revient sur ses principes et lance à son tour une solution de lavage automatique.
D’ici la fin de l’année, 13 sites de l’enseigne (sur 519 en France), dont 9 de ses sites en propre, seront dotés d’un ou deux portiques à brosses automatiques. "Le déploiement de cette nouvelle solution de lavage se fera ensuite à un rythme annuel de 15 à 25 nouveaux portiques installés", estime Patrick Mary, directeur du développement d’Elephant Bleu.
Contrainte de se rapprocher des zones commerciales et notamment des grandes et moyennes surfaces de distribution pour continuer son développement, où le coût du foncier est très élevé, l’enseigne devait trouver un moyen d’augmenter le chiffre d’affaires de ses centres et leur rentabilité. Or, si le lavage automatique est moins prisé que le lavage haute pression (55% des lavages contre 39% pour les portiques), il est beaucoup plus générateur de chiffre d’affaires. En effet, un portique à brosses génère le triple du chiffre d’affaires d’une piste de lavage haute pression, soit 60 000 euros par an.
"Et surtout il ne touche pas la même clientèle", précise M. Mary qui s’appuie sur plusieurs études menées par TNS Sofres. "La clientèle des portiques est une clientèle souvent plus aisée que celle du lavage haute pression et qui souhaite déléguer. Ce sont également beaucoup de femmes. Il n’y a donc pas de risque de cannibalisation de la clientèle d’un système par l’autre." Le groupe espère donc conquérir une nouvelle cible de clientèle parmi les clients traditionnels des professionnels proposant des portiques à brosses.
A noter enfin que pour ne pas trahir son image d’enseigne responsable construite sur le lavage haute pression (plus économe en eau), l’enseigne a mis au point une solution "mixant" le concept du portique à rouleau et les avantages économiques et environnementaux du lavage haute pression. "Nous utilisons la haute pression pour prélaver le véhicule et nettoyer les brosses avant leur passage sur la carrosserie. Le rinçage se fait ensuite à l’eau déminéralisée que nous obtenons grâce aux équipements de recyclage de l’eau. Nous restons ainsi fidèle à nos engagements de qualité et de respect de l’environnement."
Source : Autoactu.com
- bobby
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Re: Revue de Presse
Peugeot dévoile les 10 concept-cars finalistes de son concours de design
L'enjeu est important pour les designers en herbe : voir son dessin devenir réalité et être exposé au Salon de Shangai 2009. Les 10 projets sélectionnés par Peugeot viennent d'être dévoilés.
Peugeot vient de dévoiler les dix finalistes de son 5e concours de design. Cette année, les designers en herbe, âgés de 21 à 45 ans, devaient "créer un concept -car conçu pour évoluer au cœur des grandes cités urbaines de l’avenir, tout en portant les valeurs clés du 21ème siècle et les codes stylistiques de Peugeot".
Parmi les 30 dessins initialement retenus, les internautes ont pu exprimer leurs préférences en votant sur le site internet du constructeur. A partir de l’analyse des 132 000 votes enregistrés, le jury réunissant les équipes du design de Peugeot et présidé par son directeur général, Jean-Philippe Collin, a finalisé la liste des 10 finalistes. D’ores et déjà, ceux-ci sont assurés de recevoir une récompense de 1 000 euros. Le 2 octobre prochain, le jury Peugeot désignera l’heureux gagnant d’un chèque de 10 000 euros dont le projet sera construit à l’échelle 1 et présentée lors du Salon automobile de Shanghai en avril 2009.
Pour les projets des dix finalistes : http://www.peugeot.com/fr/design/concou ... istes.aspx
Source : Autoactu.com
L'enjeu est important pour les designers en herbe : voir son dessin devenir réalité et être exposé au Salon de Shangai 2009. Les 10 projets sélectionnés par Peugeot viennent d'être dévoilés.
Peugeot vient de dévoiler les dix finalistes de son 5e concours de design. Cette année, les designers en herbe, âgés de 21 à 45 ans, devaient "créer un concept -car conçu pour évoluer au cœur des grandes cités urbaines de l’avenir, tout en portant les valeurs clés du 21ème siècle et les codes stylistiques de Peugeot".
Parmi les 30 dessins initialement retenus, les internautes ont pu exprimer leurs préférences en votant sur le site internet du constructeur. A partir de l’analyse des 132 000 votes enregistrés, le jury réunissant les équipes du design de Peugeot et présidé par son directeur général, Jean-Philippe Collin, a finalisé la liste des 10 finalistes. D’ores et déjà, ceux-ci sont assurés de recevoir une récompense de 1 000 euros. Le 2 octobre prochain, le jury Peugeot désignera l’heureux gagnant d’un chèque de 10 000 euros dont le projet sera construit à l’échelle 1 et présentée lors du Salon automobile de Shanghai en avril 2009.
Pour les projets des dix finalistes : http://www.peugeot.com/fr/design/concou ... istes.aspx
Source : Autoactu.com
Re: Revue de Presse
Quitte à être pressé, ma préférence irait plutôt au lavage haute pression mais en portiques, Il lave particulièrement les Peugeot > http://www.star-wash.fr/fr/powerjet.phpbobby a écrit :Elephant Bleu lance le lavage automatique dans ses stations
Le groupe Hypromat ajoute à ses stations de lavage haute pression en libre-service Elephant Bleu une offre de lavage automatique. Le groupe part ainsi à la conquête des 39% de parts de marché que représentent les utilisateurs des portiques et rouleaux.
- bobby
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Re: Revue de Presse
Fusion de l’Automobile Club Action + et de la Fédération Française des Automobile Clubs
Les deux organisations de défense et d’aide aux automobilistes, l’Automobile Club Action + et la Fédération Française des Automobiles Clubs (FFAC) ont fusionné leurs activités. La nouvelle organisation sera dirigée par Didier Bollecker.
Lors de son assemblée générale extraordinaire du 17 septembre dernier, la FFAC a adopté, à la majorité des deux tiers, sa fusion avec l’Automobile Club Action +. L’Automobile Club Action + était le club le plus important de la FFAC avec 110 000 automobilistes adhérents.
Il est également l'un de plus dynamiques; l’Automobile Club Action a en effet développé un service d’assistance juridique pour assurer la défense des automobilistes (litige à l’achat ou à la vente de leurs véhicules, accidents matériels et corporels, infractions). Il propose des stages de récupération de points avec une prise en charge des frais dans son propre réseau de centres de formation.
Il permet également à ses adhérents de bénéficier de réductions et de plusieurs services complémentaires (voyages, assurances, vignettes autoroutières, éléments de sécurité, etc).dans le cadre de sa participation au programme mondial "Show Your Card !".
Il travaille également au renforcement de la sécurité routière via sa filiale Automobile Club Prévention qui dispense des formations et des stages dans le domaine de la prévention, de la maîtrise du risque routier et de l’éco-conduite.
"En fusionnant ainsi les activités de représentation, tant sur le plan national qu’international, et les services aux automobilistes, les Clubs français adoptent un mode de fonctionnement largement partagé dans le monde où de puissantes organisations nationales cumulent l’ensemble de ces fonctions. Ce renforcement est particulièrement utile à un moment où l’usage de l’automobile fait l’objet de nouvelles contraintes, tant règlementaires que budgétaires," explique un communiqué.
La nouvelle organisation, dont le nom n’a pas encore été choisi, est présidée par Didier Bollecker, président de l’Automobile Club Action+. Le président de la FFAC, Christian Gerondeau, devient membre du comité de direction de la nouvelle organisation en qualité de président délégué à la mobilité et à l’environnement.
Source : Autoactu.net
Les deux organisations de défense et d’aide aux automobilistes, l’Automobile Club Action + et la Fédération Française des Automobiles Clubs (FFAC) ont fusionné leurs activités. La nouvelle organisation sera dirigée par Didier Bollecker.
Lors de son assemblée générale extraordinaire du 17 septembre dernier, la FFAC a adopté, à la majorité des deux tiers, sa fusion avec l’Automobile Club Action +. L’Automobile Club Action + était le club le plus important de la FFAC avec 110 000 automobilistes adhérents.
Il est également l'un de plus dynamiques; l’Automobile Club Action a en effet développé un service d’assistance juridique pour assurer la défense des automobilistes (litige à l’achat ou à la vente de leurs véhicules, accidents matériels et corporels, infractions). Il propose des stages de récupération de points avec une prise en charge des frais dans son propre réseau de centres de formation.
Il permet également à ses adhérents de bénéficier de réductions et de plusieurs services complémentaires (voyages, assurances, vignettes autoroutières, éléments de sécurité, etc).dans le cadre de sa participation au programme mondial "Show Your Card !".
Il travaille également au renforcement de la sécurité routière via sa filiale Automobile Club Prévention qui dispense des formations et des stages dans le domaine de la prévention, de la maîtrise du risque routier et de l’éco-conduite.
"En fusionnant ainsi les activités de représentation, tant sur le plan national qu’international, et les services aux automobilistes, les Clubs français adoptent un mode de fonctionnement largement partagé dans le monde où de puissantes organisations nationales cumulent l’ensemble de ces fonctions. Ce renforcement est particulièrement utile à un moment où l’usage de l’automobile fait l’objet de nouvelles contraintes, tant règlementaires que budgétaires," explique un communiqué.
La nouvelle organisation, dont le nom n’a pas encore été choisi, est présidée par Didier Bollecker, président de l’Automobile Club Action+. Le président de la FFAC, Christian Gerondeau, devient membre du comité de direction de la nouvelle organisation en qualité de président délégué à la mobilité et à l’environnement.
Source : Autoactu.net
- bobby
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Re: Revue de Presse
Six sites pour bien apprendre à entretenir sa voiture.
http://www.01net.com/editorial/393142/s ... a-voiture/
Source : 01net.com
http://www.01net.com/editorial/393142/s ... a-voiture/
Source : 01net.com
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