Forums Européens du Club Coupé 406

Les plus belles hôtesses du Salon de Genève

http://www.01men.com/editorial/409915/magazine-auto/

Le plaisir de conduite :

A la manière du coupé Peugeot 406 dont le caractère a fait le bonheur de bien des amateurs d'automobiles, le Peugeot RCZ relance le plaisir de conduite selon le constructeur sochalien. « Peugeot a vraiment passé un cap avec ce Peugeot RCZ, une vraie montée en gamme, j'en veux une ! » plaisantait ainsi Nicolas Minassian au terme de son premier « run » à bord du Peugeot RCZ. Alors, coup de com’ bien orchestré ou véritable désir ? Difficile à dire, même si notre premier contact en tant que passager fut une vraie partie de plaisir.

(source Automoto)

Les voitures d'occasion qui décotent le moins.


http://www.linternaute.com/auto/magazin ... etter=2685

Les sites de location de voitures dans le collimateur de la DGCCRF

La Direction générale de la Concurrence, la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) a annoncé dans un communiqué avoir réalisé plusieurs actions de contrôle sur les sites Internet des loueurs automobiles, certaines ayant abouti à des poursuites judiciaires.


Les 38 actions de contrôle réalisées en 2009 sur les sites Internet des loueurs automobiles ont "mis en évidence un certain nombre d’irrégularités", révèle un communiqué de la DGCCRF.
La majorité de ces "irrégularités" portent sur l’absence d’information sur les prix et des pratiques commerciales trompeuses, sans donner davantage de précisions.
La DGCCRF cite seulement le problème du manque de détails dans les prix de la location (prix au km ou à la journée, prestations incluses dans les forfaits, nature des garanties) qui amène les consommateurs à payer un prix plus élevé que celui qui est annoncé au départ.
Suite à cette enquête nationale, "des démarches ont été engagées pour faire cesser ces pratiques", souligne le communiqué. "Plusieurs de ces contrôles ont conduit à des poursuites judiciaires", indique un porte-parole de la DGCCRF sans révéler le nombre de loueurs concernés, ni les peines encourues ou déjà prononcées.
Le porte-parole souligne en revanche qu’en communiquant sur ces actions, la DGCCRF entend sensibiliser les professionnels sur "la nécessité de se mettre en conformité avec le code à la consommation", d’autant plus maintenant que "la période estivale approche".
"Nous souhaitons en outre rappeler aux consommateurs les règles de vigilance à adopter avant de s’engager." Vérifier donc que les loueurs indiquent bien sur leur site les prix détaillés de la location, le prix des assurances complémentaires (optionnelles), le montant du dépôt de garantie, les conditions de restitution du véhicule, les frais à sa charge, les conditions de location (âge, ancienneté du permis) et les obligations du locataire.
Désormais "sous surveillance", les sites des loueurs pourraient faire l’objet d’autres contrôles visant à détecter d’éventuels manquements à la réglementation, prévient la DGCCRF.

Source Autoactu.com

France : les autoroutes très sûres, le reste du réseau à revoir

Les autoroutes françaises sont parmi les plus sûres d'Europe mais de gros efforts restent à faire pour sécuriser le reste du réseau, selon une étude européenne réalisée sur des échantillons de voiries.


"Le niveau de sécurité de nos autoroutes est le meilleur d'Europe", a assuré mardi Roger Braun, directeur général de L'Automobile club - Association française des automobilistes -, partie prenante à l'étude menée par le consortium européen EuroRAP et présentée à Strasbourg.
Quelque 98% du réseau autoroutier étudié obtient quatre étoiles sur cinq. La cinquième étoile est encore rare car surtout prévue, selon les concepteurs de l'étude, pour prendre en compte les technologies futures de gestion des risques.
Une étude similaire portant sur les autoroutes belges et luxembourgeoises avait accordé quatre étoiles à 78% du réseau.
Accueillant 25% du trafic, les autoroutes françaises n'enregistrent que 5% des accidents mortels mais, sur les voies à double sens de circulation, seul un tiers du réseau atteint la moyenne, soit au moins trois étoiles. Environ 15% des voies à double circulation n'obtiennent qu'une étoile, ce qui correspond à un niveau de "risque élevé". Selon EuroRAP, de précédentes études ont montré qu'une étoile de moins dans la classification correspondait à un doublement du taux de mortalité.
A l'instar du programme européen de crash-tests destiné à évaluer la sécurité des véhicules baptisé EuroNCAP, le programme européen de certification des routes EuroRAP analyse la sécurité des infrastructures routières.
Cette première étude concernant la France ne porte que sur 4 300 kilomètres de bitume alors qu'un million de kilomètres traversent la France.

Trois parcours-types
Elle a été réalisée à la demande et avec un cofinancement des Pays-Bas et de la Belgique, soucieux d'évaluer dans quelles conditions nombre de leurs ressortissant partent chaque année chercher le soleil en France, en Espagne ou en Italie.
En 2008, la France se classait au 12e rang des pays de l'OCDE pour le nombre de tués sur les routes avec 6,9 morts pour 100 000 habitants, selon l'Irtad, la base de données internationale sur les accidents de la route.
Elle se situait au 8e rang parmi les pays d'Europe de l'ouest, derrière la Grande-Bretagne, l'Allemagne, la Suisse et les Pays-Bas, à égalité avec l'Espagne mais devant la Belgique et l'Italie.
Cette fois, l'étude a porté sur trois types de parcours représentatifs de ceux qu'empruntent les touristes d'Europe du Nord: un trajet 100% autoroute entre Bruxelles et Barcelone par la Vallée du Rhône, un second itinéraire par des routes "d'intérêt touristique", via Orléans et Mont-de-Marsan, et un troisième parcours sur 1 406 kilomètres de routes provençales.
L'attribution des étoiles résulte d'une synthèse entre plusieurs paramètres: chaussée, signalisation, vitesse autorisée, accotements ou présence de barrières de sécurité.
Pour mener ses inspections, EuroRAP utilise des camionnettes équipées de plusieurs caméras qui enregistrent une vue panoramique de la route à raison d'une image tous les 10 mètres.
Les images sont ensuite analysées puis comparées avec les données de l'accidentologie mais ces dernières n'ont pas été prises en compte dans l'étude présentée mardi.
Les autorités françaises n'ont en effet pas été en mesure de les fournir à EuroRAP. L'Automobile club a donc envoyé l'étude à Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat aux Transports, en lui demandant son appui "pour que la France, en fournissant les données techniques nécessaires, rejoigne officiellement le projet EuroRAP".


Source : Reuters

bobby a écrit :France : les autoroutes très sûres, le reste du réseau à revoir

Les autoroutes françaises sont parmi les plus sûres d'Europe mais de gros efforts restent à faire pour sécuriser le reste du réseau, ......

.... et c'est pas en nous mettant des radars tronçons que l'on va plus emprunter le reseau autoroutier, bien au contraire

EDHUNTER a écrit :

bobby a écrit :France : les autoroutes très sûres, le reste du réseau à revoir

Les autoroutes françaises sont parmi les plus sûres d'Europe mais de gros efforts restent à faire pour sécuriser le reste du réseau, ......

.... et c'est pas en nous mettant des radars tronçons que l'on va plus emprunter le reseau autoroutier, bien au contraire

moi, comme VDE et rené par exemple, autoroute uniquement par obligation, autrement on évite absolument, surtout sur les départementales qui sont sympas même à 90 comme j'en connais ou c'est parfois sympa à conduire tout en sécurité, mais pas tenable avec n'importe quelle voiture, et puis on profite des reprises de la voiture, enfin à part la vitesse inférieure par rapport à l'autoroute, pour des trajets comme je fais le plus souvent entre 200 et 400 kms, au moins on ne s'ennuie pas, et puis aussi sur l'autoroute, par exemple sur la N10, la semaine entre Bordeaux et Panam, on peut y faire des moyennes de 90km/h : normal, c'est la vitesse des poids lourds

F1 : Les discussions sur le successeur de Bridgestone continuent

La longue attente pour connaître le nom du prochain fournisseur de pneumatiques de la Formule un va encore se prolonger quelques jours, après des discussions de dernière minute avec Michelin, dimanche, lors du Grand Prix de Turquie.


Le fabricant japonais Bridgestone quittera la compétition en novembre et les écuries, qui veulent avancer au plus vite sur la conception des monoplaces 2011, espérait qu'un accord pourrait être conclu avec un nouveau partenaire d'ici la fin du mois.
Mais les négociations, qui se jouent apparemment entre le français Michelin et l'italien Pirelli, n'ont toujours pas abouti.
"Il y a eu beaucoup de discussions générales, cela va prendre un peu plus de temps", a déclaré à Reuters le patron de l'écurie Mercedes, Ross Brawn, à la sortie d'une réunion de 90 minutes au "motorhome" de McLaren.
Le directeur général de Williams, Adam Parr, a déclaré de son côté: "Nous sommes toujours dans un processus de prise de décision finale, j'en ai peur".
"Ça prend un plus de temps qu'on ne le voudrait mais cela se passe très bien et nous avons des propositions des deux", a-t-il dit à Reuters.
Pirelli, qui a été l'équipementier de la toute première course de F1 en 1950 mais qui est absent des paddocks depuis le début des années 1990, était considéré comme le favori jusqu'à ce week-end. Michelin de son côté s'est retiré de la F1 à la fin 2006.

Le directeur de la compétition de Michelin à Istambul
"Je pense que Pirelli sera vraiment positif pour la F1", avait déclaré il y a quelques jours le directeur de l'écurie Red Bull Christian Horner.
"C'est une entreprise de qualité, ils sont une bonne marque pour la F1 et je pense que c'est une bonne nouvelle pour la F1", avait-t-il ajouté.
Cependant, le directeur de la compétition de Michelin, Nick Shorrock, s'est rendu à Istanbul où il a pu rencontrer les équipes dimanche.
"L'objectif de ce matin était simplement de s'assurer que les équipes avaient totalement compris les détails de notre offre", a-t-il dit à la presse au "motorhome" de Renault, en précisant qu'il n'avait pas été question de conditions améliorées.
"Les équipes ont écouté, elles ont posé des questions et nous avons essayé de clarifier autant que possible toutes les interrogations qu'elles pouvaient avoir", a-t-il ajouté.
Ross Brawn avait auparavant indiqué que le fabricant qui sortirait finalement vainqueur des discussions devrait respecter des spécifications techniques précises suggérées par les équipes.
"Les écuries ont élaboré ensemble une spécification technique du pneu que nous voulons", a-t-il expliqué. "Cela veut dire que nous pouvons poursuivre le développement de nos voitures. Nos voitures sont actuellement conçues sur la base des pneus actuels car nous n'avons pas d'autres informations".

Source : Reuters

Les Nouveautés des prochains Mois.

http://www.autoactu.com/documents/2010_ ... ES.pdf.pdf

Source EUROTAX

Speedy propose une révision, "mieux qu’une révision constructeur"

Speedy propose à son tour depuis hier dans l’ensemble de son réseau la révision. Mais pour faire "mieux qu’une révision constructeur", l’enseigne ajoute à sa prestation le diagnostic électronique du véhicule et le contrôle des pneumatiques.


Après Midas, Speedy communique à son tour sur la prestation révision. En effet, si Speedy propose déjà cette prestation depuis plusieurs mois dans quelques uns de ses centres, l’enseigne a désormais "marketé" et élargi sa prestation avant de la lancer dans l’ensemble de son réseau et de communiquer sur son offre. "Nous avons en effet attendu que l’ensemble du réseau soit équipé de tous les outils nécessaires, comme le réglo phare par exemple, pour pouvoir être fidèle au carnet d’entretien de tous les modèles. Désormais, tous les centres sont formés et équipés pour réaliser la révision dans les règles de l’art (celles du constructeur, NDLR) de 12 000 modèles de 80 marques", explique Olivier Hervio, directeur marketing et stratégie du groupe.
Pour se distinguer de la concurrence des réseaux constructeurs, Speedy a construit une offre baptisée "Révision haute protection" qui se veut "plus offrante", "rassurante" et moins chère de façon à proposer "mieux qu’une révision constructeur".
"Plus offrante" d’abord parce que Speedy inclut systématiquement dans son offre le diagnostic électronique du véhicule et un contrôle approfondi des pneumatiques (usure, déformation, pression, symétrie).
"Rassurante" ensuite parce que Speedy garantit son intervention (pièces et main d’œuvre) et utilise systématiquement des pièces d’origine lorsque des réparations sont nécessaires. "Rassurer le client est une condition sine qua non au succès de notre offre puisque le premier frein à lever pour capter les clients des constructeurs est d’ordre psychologique. Beaucoup ne savent pas que la réalisation de la révision ou d’un simple entretien chez un indépendant ne leur fera pas perdre le bénéfice de la garantie. Désormais nous les rassurons sur ce point dans notre communication et nous les rassurons également en leur rappelant que nous possédons l’équipement nécessaire, que nous avons accès aux informations techniques et que nous utilisions uniquement des pièces des fournisseurs première monte", souligne M. Hervio. C’est donc sur la réassurance que Speedy a choisi d’appuyer sa communication à travers Super Speedy, un super héros dont la mission est la protection du capital automobile.

Moins cher, Speedy rembourse la différence
Un angle différent donc de celui de Midas qui a davantage mis l’accent dans sa communication sur son avantage tarifaire face aux réseaux constructeurs . Néanmoins, s’il est moins virulent, Speedy garantit également l’avantage prix en faisant la promesse de rembourser la différence au client qui trouverait "une révision équivalente" moins cher chez son constructeur. A titre indicatif, Speedy prévoit un panier moyen sur la prestation révision de l’ordre de 180 euros TTC.
Avec cette nouvelle offre, Speedy entend donc avant tout aller chercher de nouveaux clients dans les réseaux constructeurs. "Le potentiel est immense si l’on considère que les réseaux constructeurs détiennent aujourd’hui 50% du marché de l’après-vente (et plus sur celui de la seule révision)", note M. Hervio sans révéler ses prévisions et objectifs de croissance.

Source : Autoactu.com

bobby a écrit :Speedy propose une révision, "mieux qu’une révision constructeur"

Voila désormais plus aucune excuse pour ne pas venir dans mon centre en 2011 pour la révision de vos coupés. Promis elles seront choyées par l'un des plus amoureux de la belle.

Dépassionnés de l’automobile, 37% des français se disent prêts à acheter leur véhicule sur Internet

Une étude Ifop commanditée par le site de ventes de véhicules AramisAuto.com révèle que 37% des français se disent prêts à acheter sur Internet leur voiture, objet qui se banalise pour 71% des sondés.


AramisAuto.com a présenté hier les résultats de son étude réalisée par l’Ifop sur les français et l’automobile. Menée auprès de 1 001 français de tous âges (+ de 18 ans) et de toutes catégories socio-professionnelles , cette étude reflète bien le changement du rapport des français à l’automobile.
D'objet statutaire et de passion, l’automobile est désormais perçue en premier lieu comme un outil pratique (47% des sondés) et en second lieu comme le garant de l’autonomie et de la liberté (40%). Ils ne sont plus que 3% à lier l’automobile au plaisir. Un pourcentage en outre plus faible que ceux qui la perçoivent avant tout comme une nuisance (8% comme source de dépense, facteur de pollution ou source de contraintes).
Que ce soit par obligation ou par souci de préserver sa liberté de déplacement, les français ne sont pas donc prêts à abandonner l’automobile. En revanche, parce que l’automobile ne les fait plus rêver (seuls 29% pensent que l’auto fait rêver) et qu’elle n’apparaît plus comme une arme de séduction (pour 72% des sondés), leurs critères d’achat se polarisent désormais sur le prix et le coût d’utilisation. Ils ne sont d’ailleurs que 19% à déclarer acheter une nouvelle voiture par envie d’un nouveau modèle.
L’attractivité des prix pratiqués est citée comme la première attente des français à l’égard des professionnels du secteur (48%), devant la reprise de leur ancien véhicule (32%) et la capacité d’assurer un service après-vente (31%).

Le besoin d’essayer la voiture prime encore
La quête du prix bas (associée au fait que les français ont intégré Internet comme canal d’achat sécurisé) amène ainsi 37% à se dire prêt à acheter directement leurs véhicules sur Internet (VN ou VO).
Pour les 63% qui sont encore réticents à l’achat d’une voiture sur Internet, c’est avant tout le besoin d’essayer la voiture avant de l’acheter qui les freine (48%). La deuxième raison évoquée est le besoin d’avoir un contact direct avec un vendeur (27%).
Aussi, même si les français qui souhaitent acheter une voiture effectuent en grande majorité leur recherche sur Internet (62%), Internet ne peut pas pas encore se substituer totalement aux sites physiques.

49% de patriotes automobiles
A noter par ailleurs que la quête de prix bas ou du meilleur rapport qualité/prix amènent les français à se détacher des marques françaises. Parmi les 51% des sondés qui se disent non attachés aux marques françaises, 56% le justifient par le meilleur rapport qualité prix de certaines marques étrangères et 31% par leur plus grande fiabilité.
Parmi les 49% de sondés qui se disent attachés aux marques françaises (14% très attachés), l’avantage rapport qualité-prix n’est cité que par 10% d’entre eux. Les français achètent français en majorité par patriotisme économique (41%). Voilà de quoi conforter le minsitre de l'industrie, Christian Estrosi, dans son idée de créer un label "Made in france".

Source : Autoactu.com

Honda conserve sa place de leader de la satisfaction client en France

L’étude de satisfaction menée par J.D. Power auprès d’automobilistes français récompense une nouvelle fois Honda. Mercedes se classe second et recueille ainsi les fruits des efforts réalisés. BMW remonte sur le podium après sa 4e place de l’année dernière, place désormais détenue par Dacia.


Pour la sixième année, J.D. Power publie (*) les résultats de son enquête de satisfaction réalisée auprès d’automobilistes français. Honda reste en tête du classement, avec un score de 820 points (**). La marque japonaise est particulièrement performante sur les critères de qualité/fiabilité et de service après-vente. Honda est suivie par Mercedes qui recueille les fruits des efforts réalisés pour améliorer son service après-vente. La marque allemande fait ainsi un bond de 22 points par rapport à 2009, et obtient 814 points.
Enfin, BMW gagne une place et monte sur le podium, en améliorant légèrement son score (805).
Les marques "low cost" ne sont pas en reste dans ce classement, le coût de détention comptant pour un quart de la note. Skoda se classait ainsi second l’année dernière (802 points) et partage cette année la 5e place avec…Audi (786 points). La surprise vient de Dacia, juste devant avec 787 points, réalisant une progression de 18 points par rapport à 2009. La marque obtient une note décente pour la qualité/fiabilité de ses produits et son service après-vente est jugé de bon niveau.

Le Renault Grand Modus en tête de sa catégorie
En ce qui concerne le classement par segment, Toyota décroche deux premières places, avec la Prius, toujours en tête des familiales et la Corolla Verso, en tête des monospaces (ex aequo avec le Volkswagen Touran). Les marques française, rarement bien placées les années précédentes, progressent et comptent de nombreux modèles sur le podium de leur catégorie : La Twingo se classe seconde des "minis", derrière la Fiat 500 ; Le Grand Modus se classe en tête des "petites", la 207 arrivant à la troisième place de cette catégorie qui compte 22 modèles ; La Citroën C5 arrive deuxième du segment des familiales et, enfin, le Grand C4 Picasso se classe troisième parmi les monospaces.

(*) Les résultats complets de l'étude sont publiés en exclusivité dans le numéro de juillet de L'Automobile Magazine, en kiosque depuis hier. L'étude de satisfaction des automobilistes 2010 se base sur plus de 14 000 questionnaires complétés via Internet par des propriétaires de leur véhicule depuis deux ans en moyenne. L'étude a été conduite entre janvier et mars 2010.
(**) L'indice global de satisfaction est une note sur 1 000, pondérant les quatre catégories selon les poids suivants : attrait du véhicule 32%, coûts de détention 26%, qualité/fiabilité 22% et satisfaction après-vente 20%.

Source : Autoactu.com

Enquête de satisfaction France 2010 classement général par marque

Rang Marque note (sur 1000)

1 Honda 820

2 Mercedes-Benz 814

3 BMW 805

4 Dacia 787

5 Audi 786

5 Skoda 786

7 Toyota 781

8 Alfa Romeo 773

9 Citroën 771

10 Volkswagen 770

11 Mazda 768

12 Peugeot 767

- Moyenne 767

13 Hyundai 762

13 Seat 762

15 Renault 760

16 Nissan 758

17 Kia 757

18 Mini 752

19 Ford 751

20 Fiat 748

20 Opel 748

22 Suzuki 744



Source : JD Power.
Chevrolet, Dodge, Lancia, Land Rover, Saab, Smart et Volvo n’ont pas été classées, en raison d'une taille d'échantillon trop petite.

Classement par catégorie

Mini
Fiat 500 764
Renault Twingo 747
Toyota Aygo 743

Petite
Renault Grand Modus 791
Dacia Logan 790
Peugeot 207 775

Compacte
BMW Série 1 817
Honda Civic 813
Mercedes-Benz Classe A 806

Familiale
Toyota Prius 815
Citroen C5 807
Toyota Avensis 802

Familiale Premium
Mercedes-Benz Classe C 836
BMW Série 3 806
Audi A4 782

Monospace
Toyota Corolla Verso 791
Volkswagen Touran 791
Citroen Grand C4 Picasso 789

Le Stop&Start de deuxième génération de PSA illustre son ambition du "coup d’avance"

Développé par le groupe PSA avec Valeo et Continental, le nouveau système Stop&Start équipera dès cette année 5 modèles du groupe, puis tous les moteurs 1,4l et 1,6l HDi dès 2011. Il sera ensuite généralisé à toutes les motorisations essence et Diesel.


Dès le deuxième semestre de cette année, PSA équipera trois modèles de la gamme Citroën (C5, nouvelle C4, et C4 Picasso) et deux modèles Peugeot (308 et la remplaçante de la 407) de ce système Stop&Start dans une définition baptisée eHDI. Il sera disponible à partir de 2011 sur tous les modèles équipés des moteurs 1,4l et 1,6l HDi (le moteur le plus vendu du groupe). En 2012, 30% des motorisations HDi du groupe seront équipés de ce Stop&Start.
Une offre en ligne avec l’objectif de vendre d’ici 2013 au cumul 1 million de véhicules équipés de Stop & Start soit l’équivalent d’un tiers des ventes annuelles du groupe PSA sur la base des chiffres de 2009.
A partir de 2013, ce système équipera le moteur 2l HDi ainsi que les moteurs essence.
Après avoir été précurseur en proposant un Stop&Start sur la C3 dès 2004, PSA avait fait un enjeu majeur du développement de cette nouvelle génération.
Sa mise au point a été engagée au moment de la rénovation du moteur HDi dans le cadre du passage à la norme Euro 5, rappelle Christian Chapelle, directeur des moteurs des boites de vitesse et des liaisons au sol PSA.
"Un système classique par démarreur renforcé ne répondait pas au cahier des charges", explique-t-il. L’agrément n’était pas au rendez-vous, et PSA a tenu compte des retours clients de son expérience avec la C3.

Un démarrage en 400 millisecondes
Le système présenté dans le cadre de l’appellation eHDi est l’association, explique Christian Chapelle, d’un moteur HDi, d’un Stop&Start avec alternateur réversible de deuxième génération Valeo, d’un e-booster de batterie Continental, d’un système de pilotage électronique de l’alternateur (développé en interne) et d’une boîte de vitesses aux rapports optimisés. Au total, 15 fournisseurs ont travaillé sur ce projet. Par ailleurs, tous les véhicules équipés du e-HDi seront équipés de pneumatiques à faible résistance au roulement avec le Energy Saver de Michelin.
Un ensemble de technologies nécessaires pour obtenir le niveau d’agrément exigé (concrètement que le conducteur ne se rende compte de rien) et donc supprimer à-coup, bruits mécaniques et vibrations. La rapidité du démarrage est l'un des atouts de système avec 400 millisecondes soit "deux fois plus rapide qu’un redémarrage manuel à la clé" et "40 % plus rapide qu’une solution démarreur renforcé", explique PSA.
Il aura fallu 3 ans de développement avec 500 ingénieurs et techniciens pour répondre à ce cahier des charges. Au final l’investissement annoncé est de 300 millions d’euros avec le dépôt de plus de 30 brevets.
Une partie de la maîtrise de cet ensemble de solutions appartient à PSA et lui permet de mettre en avant un avantage comparatif, "le coup d’avance" que revendique Jean-Marc Gales, directeur des marques.
Le constructeur s’est donc attaché à développer en interne le système de pilotage dont il est propriétaire et qui ne sera pas disponible à l’identique pour les autres clients de l’alternateur-réversible de Valeo, souligne Christian Chapelle. Même situation pour l’e-booster conçu avec Continental mais dont PSA est le propriétaire intellectuel.
Les concurrents, y compris Ford partenaire de PSA sur le développement des moteurs HDi, ne disposeront pas de ce nouveau Stop&Start décrit par Jean-Marc Gales comme "un exploit technologique" et qui dit-il "va devenir une référence sur le marché".
PSA entend en faire un argument commercial majeur et notamment dans le cadre de la baisse des émissions de CO2. Le gain de consommation est acquis dès que l’arrêt moteur atteint 3 secondes grâce à une "anticipation de l’arrêt à vitesse non nulle", explique Christian Chapelle en dessous de 20 km/h pour une boite manuelle et 8 km/h pour une boite automatique.
Sur une C5, l’économie de l’ensemble représente 10g/km dont 5 g/km pour le Stop&Start et peut monter à 15% en condition de circulation urbaine chargée.
Sur le premier modèle qui en sera équipé, la C5 1,6 e-HDi les émissions de CO2 sont annoncées à 129g/km au lieu de 139g/km en HDi.
PSA n’a pas annoncé le surcoût de ce Stop&Start mais Jean-Marc Gales annonce "quelques centaines d’euros" pour une innovation "à forte valeur ajoutée pour le client". Ne reste plus qu’à l’en convaincre.

Source : Autoactu.com

Une boisson promet de stopper l'ivresse


http://www.linternaute.com/actualite/de ... f_u=927103#