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Rouler au e 85 ...

Posté : jeudi 10 juillet 2008, 09:19
par platox
bonjour à tous

j ai un 406 coupe v6 pack de 98

je suis tombé ce matin sur une pub pour un kit pour rouler au E85 et je voulais savoir si il y avait un risque au niveau moteur

car j y tiens beaucoup a ma 406 coupé ?


Si quelquun a des infos ! :1:

Re: Rouler au e 85 ...

Posté : jeudi 10 juillet 2008, 14:22
par Toubi
150 pompes en France, soit 1,5 par département...

Re: Rouler au e 85 ...

Posté : jeudi 10 juillet 2008, 20:08
par master-iodive
dont une à 2 km de chez moi....
:)

Re: Rouler au e 85 ...

Posté : jeudi 10 juillet 2008, 20:21
par chris74
C'est aussi ce que ferais dès que j'aurais mon V6, car cela a quand même de nombreux avantages dont une grosse réduction sur la carte grise qui compense en partie la modif, sans compter le coût kilométrique, ne faisant pas 8 000 kms/ans, cela ne chiffrera pas beaucoup mais c'est toujours bon à prendre, sans oublier la facilité de revente.
J'ai roulé 2 ans en 406 2litres boite auto équipée gpl, et c'était vraiment le pied, l'E85 doit être encore beaucoup mieux, quand aux pb de fiabilité, oui peut être, on me disais la même chose du gpl, et mon père était encore chez après vente dans une des plus vieilles concessions de France, pourtant pas l'ombre d'un pb en 5 ans et 100 000 kms ( le prédécesseur roulait déjà au gpl), la personne a qui je l'ai vendu roule encore avec................qui croire ?????C'est sûr qu'on en perd son latin, je me rappelle de l'époque de la 504 elle roulait déjà au gpl sans modif moteur dans certain pays du magreb, et quand on est passé au sp, on nous prédisait des casses moteurs en série à cause des culasses et des sièges de soupapes............mais dans le gpl, du plomb, il n'y en a JAMAIS eu !!!!!!!!!!!!!!!!!! Alors?????? Quand je demandais des explications à des responsables Peugeot, DR et compagnie c'était la soupe à la grimace, inutile de dire que je ne me suis pas privé de roulé au sp, même avec mon cab de 69, sans aucun soucis en 10 ans et 40 000 kms, donc pourquoi tant de haine avec l'E85??
Je ne doute pas que les véhicules vendus au Brésil soient transformés en profondeur, mais en attendant ,si Mr Peugeot estime que les véhicules neufs qu'il vends actuellement en France sont FIABLES , genre 307,407 etc (parlez en aux concessionnaires!!!!!!!!!! ha non c'est vrai, c'est la première fois qu'ils voient ça, réponse officielle et politiquement correcte) et qu'il est le seul capable de faire rouler une voiture au biocarburant, alors je ne me fait AUCUN SOUCIS, cela ne pourra pas être pire.

Re: Rouler au e 85 ...

Posté : dimanche 13 juillet 2008, 08:53
par Martin-v60
Bonjour, moi j'ai passé une moto à l'E85 à 100% en modifiant la cartographie, la moto est une Aprilia Falco 1000, avec un inter on selectionne le carburant, et ca marche nickel depuis 6 mois.
Je voudrai maintenant, faire la même chose sur ma 406, mais je n'ai aucune info actuellement sur les données du calculateur, je vais travailler dessus, mais je pense que ca se fera rapidement. Je vous ferai part de l'avancement du projet, sachant que pour la moto, on avais fais ca en une journée, on avais monté une système d'acquisition de données et corrigé ce qui n'allais pas pour finir avec une moto qui tourne nickel.

Pour ceux qui veulent des infos:
On a monté la pression d'injection de 3,5 à 4,2 bars
L'eprom contient 2 carto selectionnables, d'origine elle contient une carto bridée à 100ch et une full.

On a donc maintenant une carto origine avec des données adaptée à la nouvelle pression et une carto E85, la sélection se fais par la mise à la masse d'une fil du calculateur.

Re: Rouler au e 85 ...

Posté : dimanche 13 juillet 2008, 18:07
par master-iodive
beau boulot sur la moto..... chapeau l'artiste.
pour ce qui me concerne, j'ai franchis le pas.... hélas j'anticipe un prix des carburants durablement élevée (et je pense même que le pire est à venir..... mon métier est lié à l'économie et la bourse..... bad news dans le collimateur).
Un kit coûte pas trés cher... et à 0,65 € d'écart au litre, même un peu de consommation en plus, cela génére rapidement une économie sensible (et pourtant je roule peu).

Bonne surprise, le moteur semble plus généreux "en bas", aprés "en haut", c'est interdit....

ma motivation outre l'aspect financier est également d'arreter ne nourrir les pays de l'Opep et consort..... d'augmenter la demande en Superethanol.... pour qu'une filiére française voit le jour. En avant les ingénieurs de chez Peugeot, Renault etc (emission d'ozone avec l'éthanol.... faut trouver quelque chose pour réduire) et la PAC éuropéenne faudrait se bouger un peu aussi.
Arrêtons d'envoyer des € aux pays producteurs de pétrole..... croyez moi... sinon quand nous reverrons la couleur de cet argent, celà sera pour racheter des pans entiers de nos entreprises.... et là, pas glop du tout.

Re: Rouler au e 85 ...

Posté : dimanche 13 juillet 2008, 21:01
par Martin-v60
N'oublie pas que le pétrole est payé en dollar, et à ce que je pense, vu la devaluation de cette monnaie, ils se rattrapent en augmentant le prix du baril.
Apres ce qui est étonnant, c'est que le dollar nous coute moin cher, ce qui veux dire qu'en final, le prix du baril en € n'augmente pas tant que çà.

Pour en revenir au sujet, les kits vendus dans le commerce ne permettent pas une cartographie correcte, ces kits ne change pas les tables allumage et troublent le fonctionnement du moteur, rien ne vaux un vrai travail de cartographie.

Re: Rouler au e 85 ...

Posté : dimanche 13 juillet 2008, 21:15
par master-iodive
baril en euros = 91 €, le USD semble sur un plancher (semble....) de toute façon, l'évolution du baril/USD se déroule sur un facteur 4 (quand le USD perd 1%, le baril en prend 4.... observation statistique; cela a ses limites comme constat, mais bon c'est la donne actuelle).

Il faut réduire la pétrodépandance, même si la France n'est pas la plus touchée.... aux US ils en sont même (je parle des simples salariés) à faire des journées de travail plus longues pour ne faire que 4 jours par semaine et ainsi économiser 1 journée de transport routier.... ça fait rêver, ou cauchemarder plus précisément.
Enfin moi, entre un plein à 100 € en SP et un à 60 en E85....... pourtant je roule peu.

Il y a mieux à faire avec le pétrole que de le bruler, c'est ma conviction, et sans doute mieux à dépenser nos sous qu'à les envoyer vers l'OPEP et consort, des pays de grande démocratie....

sans doute exact pour l'optimisation de la cartographie/ethanol, aprés je ne suis pas sûr qu'il existe assez d'artistes pour faire le boulot dont tu parles.....

Re: Rouler au e 85 ...

Posté : lundi 14 juillet 2008, 08:25
par Toubi
Un litre de mazout pour produire 1 litre d'E85....

150 pompes en France.... Les autres pompistes rêve d'investir, ça se voit.


Tu bosses dans quoi déjà ?

C'est le vélib, qu'il te faut pour arrêter la dépendance.

Re: Rouler au e 85 ...

Posté : lundi 14 juillet 2008, 12:13
par master-iodive
je bosse dans une banque (avec un population de clients qui EUX ont des sous.... des gros sous)..... une pompe E85 à 2 km de chez moi, mon budget c'est 7000 km par an...... ma motivation n'est pas uniquement l'économie sur le carburant.

Quant à la production d'éthanol, on ne me fera pas croire durablement qu'il faut plus de pétrole pour le produire que le résultat final...... si c'est le cas, c'est que personne n'a rien compris, y compris les producteurs d'ethanol.

Pour le vélib, vient donc à marseille, tu verras ce que nous appelons les collines..... et en costard cravate.... hum hum....

bon c'est pas tout ça, mais je vais peut être prendre ma belle et aller balader, vers Cassis par exemple.

Re: Rouler au e 85 ...

Posté : mardi 15 juillet 2008, 05:43
par Toubi
1 litre pour 1 litre ne vient pas de moi, mais de canards comme autoplus...

Quand au nombre de pompe, tu as cette chance' mais pour combien de temps ?

Ce carburant va disparaitre, il doit gongler les distributeurs plus qu'autre chose.

Des camions pour 150 pompes...

Re: Rouler au e 85 ...

Posté : mardi 15 juillet 2008, 06:04
par master-iodive
quant à la disparition des pompes ethanol, c'est sur que s'il n'y a pas de demande....

le processus de fabrication est certainement pas encore assez réfléchi, mais il existe déjà des usines qui ont intégré une fabrication propre de l'éthanol, il faut donc généraliser ce genre de processus. Et pas nécessairement utiliser des ressources agricoles qui auraient dû être consommées par les populations.
En copié un article interressant je crois :

Henri Ford au début du 20e siècle avait imaginé utiliser de l’éthanol pour remplir le réservoir de ses "model T". L’idée n’a pas été sans suite car le Brésil, les États-Unis et le Canada ont fabriqué à partir de canne à sucre, de blé et de maïs beaucoup d’éthanol pour le mélanger à l’essence et cela, bien avant de se préoccuper de la réduction des gaz à effet de serre. L’objectif était d’être moins dépendant du pétrole et/ou d’assurer des débouchés aux productions agricoles.

En Europe, l’éthanol produit principalement à partir de betteraves, n’est utilisé comme additif à l’essence que pour des raisons techniques.

Plusieurs paramètres législatifs et économiques viennent de changer la donne en Europe et en France :

1 - La directive européenne sur les biocarburants (98/70/CEE) fixe un pourcentage minimal de biocarburant à mettre sur le marché et donne aux États membres la possibilité de le défiscaliser totalement ou partiellement ;

2 - Dans le cadre de la PAC, la culture sur jachère est autorisée pour les productions de biocarburants. Une compensation de 45 € par hectare est instituée pour les cultures hors jachère ;

3 - Le prix du maïs n’est plus subventionné et est commercialisé au cours mondial ;

4 - La production de maïs devient excédentaire dans l’Europe à 25 ;

5 - Augmentation du prix du pétrole ;

6 - Défiscalisation de l’éthanol de 0,38 € par hectolitre ;

7 - Le Premier ministre a annoncé le 7 septembre 2004 la construction d’ici 2007 de 4 usines produisant du biocarburant.

Tous ces éléments ont conduit les sociétés de l’agroalimentaire et une multinationale fabriquant de l’éthanol à proposer en Aquitaine la construction de la première usine européenne de fabrication d’éthanol avec des grains de maïs. C’est donc ce contexte, validant économiquement cette industrie tout en permettant d’assurer un débouché commercial au maïs, qui a amené le projet et non un souci de réduire l’émission de gaz à effet de serre. Finalement les ingrédients décisionnaires du projet sont les mêmes que ceux qui ont présidé au même choix au Canada ou aux États-Unis dans les années 80.

Cette démonstration faite, il s’agit maintenant d’analyser les véritables conséquences environnementales de ce projet, de déterminer s’il doit être soutenu dans le cadre du développement durable et de regarder, le cas échéant, si d’autres choix ou orientations sont envisageables.

Les objectifs politiques à atteindre sont au nombre de 3 :

1 - Corriger le caractère productiviste de l’agriculture pour réduire ses atteintes à l’environnement ;

2 - Assurer un cadre économique qui maintienne les revenus des agriculteurs de notre région tout en maintenant le niveau d’activité de notre industrie agroalimentaire ;

3 - Réduire les émissions de CO2 des carburants et notre dépendance aux énergies fossiles. Nous pouvons considérer que ces trois objectifs constituent les trois sommets d’un triangle. Une politique de développement durable doit viser son centre.

Il faut tout d’abord souligner que la combustion des bio-éthanols émet dans l’atmosphère une quantité de CO2 qui n’est autre que celui prélevé quelques semaines avant, par photosynthèse, lors de la croissance du végétal. Nous sommes donc en présence d’un bilan théoriquement nul mais en réalité, dans la pratique, il est bien différent :

Dans le cas de la production d’éthanol à partir de grains de maïs, si l’on comptabilise la production de CO2 de façon exhaustive sur toute la chaîne (culture, récolte, transformation, transport et distribution), le gain en CO2, pour un véhicule fonctionnant avec 10% d’éthanol dans l’essence, est d’environ 4% (Rapport du comité consultatif sur l’éthanol Manitoba). Ce calcul est effectué dans le cas d’une production "douce" du maïs par un organisme qui soutient cette technologie. Il est donc à corriger vers le bas dans le cas d’une production intensive comme celle pratiquée en Aquitaine et à comparer à d’autres études, moins partisanes, qui sont plus sévères.

La réputée Université Cornell de New York, affirme même que l’on arrive à 1,3 litres de pétrole utilisés pour livrer un litre d’éthanol, donc un bilan énergétique négatif. Ses conclusions sont claires : ce carburant réchauffe davantage la planète que l’essence !

Une étude de l’université de Stanford conclut qu’un développement des cultures énergétiques peut conduire à un bilan de CO2 négatif.

Il faut bien admettre qu’aujourd’hui personne ne s’entend sur la façon de calculer le "vrai" bilan. Si l’on fait la moyenne des chiffres produits par les partisans et les opposants on obtient, au mieux, un bilan nul.

Les impacts environnementaux autres que ceux liés à l’effet de serre ne doivent pas être négligés. La culture de maïs est une de celles qui produit le plus d’azote qui est le plus important polluant de nos cours d’eau et des nappes phréatiques. Elle exige beaucoup d’herbicides, d’insecticides et d’eau. Par ailleurs si, comme prévu, une partie du maïs produit pour fabriquer de l’éthanol était produit sur les jachères nous aurions une augmentation notable des surfaces cultivées avec une détérioration supplémentaire du bilan CO2 car il est démontré que les terres cultivées en absorbent moins que les herbages.

Si nous reprenons notre triangle des trois objectifs la solution maïs/éthanol se situe sur un des sommets car seul l’objectif 2 est atteint. A quelques nuances près de rendement énergétique, les autres filières de production de biocarburant éthanol basées sur l’utilisation de la partie valorisable des plantes posera toujours le même problème : asseoir une production de carburant sur des cultures intensives polluantes et énergivores ne sera pas en mesure de satisfaire globalement des objectifs environnementaux.

La solution d’utiliser des huiles végétales brutes (H.V.B. de tournesol, colza ou autres oléagineux) est une solution intéressante à développer en circuit court : les agriculteurs produisant leur carburant ou le fournissant à leurs voisins. Il faut noter que les engins agricoles utilisent tous des moteurs diesels qui sont en mesure de fonctionner à l’HVB. Dans ce contexte, et sur la base d’une culture extensive des oléagineux, le bilan effet de serre est excellent. Il reste cependant à régler le problème fiscal. Il peut l’être en transposant le principe de gestion des bouilleurs de cru et en limitant l’utilisation de l’HVB au matériel agricole.

Que faire pour entrer dans le triangle vertueux des économies d’énergie, du respect de l’environnement et d’une source compensatoire des revenus agricoles à une grande échelle ? Beaucoup de recherches ont été entreprises pour trouver d’autres solutions pour produire de l’éthanol plus "proprement". Aujourd’hui une de ces solutions vient d’atteindre le stade de l’industrialisation. Il s’agit de la filière lignocellulose. La transformation de la biomasse lignocellulosique (herbe, bois, écorce, tige, feuilles, pulpe de papier, etc.) en bioéthanol nécessite très peu de carburant fossile. Dans ce procédé, la cellulose ou l’hémicellulose sont converties en amidons et en sucres grâce à des enzymes, puis ces sucres sont transformés en éthanol. Le principal sous-produit est la lignine, dont la combustion produit la vapeur nécessaire au processus. La vapeur résiduelle peut être convertie en électricité et vendue au réseau électrique. Une usine de la société Iogen basée à Ottawa convertit déjà industriellement des matières cellulosiques telles que la paille de blé en bio éthanol.
Il est fortement probable que les développements à venir dans le domaine de la production de bio éthanol vont se faire dans ce sens à cause de la réduction des coûts et de la très faible émission de C02 dans l’atmosphère de cette technologie. Il faut bien comprendre que cet excellent bilan est dû au fait, qu’au-delà de la faible consommation d’énergie du procédé, il n’y a pas lieu, en utilisant des déchets de l’agriculture, de prendre en compte le CO2 dégagé par l’activité agricole.
Il serait donc souhaitable de mener une prospective sur le développement de cette technologie en Aquitaine car elle constitue un défi intéressant pour les secteurs forestier, agro-industriel et de valorisation des résidus et déchets urbains.

Valoriser les jambes de maïs, utiliser les jachères pour produire de la biomasse sans intrants, trouver un débouché aux déchets verts irait assurément dans le sens du développement durable. Cette solution se trouve bien au centre du triangle défini précédemment.

Il reste à ne pas oublier que le carburant qui pollue le moins est celui que l’on a évité de consommer. Le développement des biocarburants ne peut en aucun cas nous éviter de remettre en cause la gabegie des transports et la sur-motorisation des véhicules.

Il est également possible de réduire la consommation de carburants fossiles des installations fixes en ayant massivement recours aux énergies passives et renouvelables.

Jacques PAPON, Conseiller régional, Groupe Vert Michel COLOCOLOFF, Militant vert, Docteur en biologie et écologie végétale, AT Landes.

Re: Rouler au e 85 ...

Posté : mardi 15 juillet 2008, 06:38
par master-iodive
autre articl sympa, qui a au moins le mérite de prover que lorsque l'on s'attaque à un probléme, il y a souvent des solutions :

Le Centre Pluridisciplinaire de Recherches Chimiques, Biologiques et Agricoles (CPQBA) de l'Université d'Etat de Campinas (Unicamp-Brésil) a développé une technologie novatrice : la production d'éthanol est simplifiée. Les chercheurs sont parvenus à sélectionner des espèces de levures qui vont changer le processus de production de l'éthanol. Ces micro-organismes permettent de supprimer la phase de centrifugation qui sert à séparer l'alcool des levures. Ils vont ainsi se concentrer dans le fond du réacteur et pourront être réutilisés sans avoir besoin d'un quelconque traitement chimique. En partenariat avec Dedini, une usine pilote a été construite à Ribeirao Preto. Elle a une capacité de production de 10 000 litre/jour et utilise une espèce de levure. Deux autres espèces de levure sont encore en phase d'étude. La technologie est quasiment prête pour être concédée sous licence. Elle devrait arriver bientôt sur le marché.


reste aux ingénieurs motoristes à corriger les émissions d'ozone liées à la combustion de l'éthanol, ils ont bien inventé le catalyseur et le FAP.....

Re: Rouler au e 85 ...

Posté : mardi 15 juillet 2008, 08:31
par Toubi
C'est du bla bla.... de banquier LOL

Si l'E85 se développe ( ce que je te souhaite )

Cela va faire un manque à gagner pour les taxes.

Le gouvernement va rattrapper le prix des autres carburants, comme il l'a fait pour le diesel.

Profites en tant que ça dur, mais ça risque de ne pas durer longtemps .

Re: Rouler au e 85 ...

Posté : mardi 15 juillet 2008, 19:42
par master-iodive
même si l'e85 monte, je persisterais..... à condition que la production soit européenne.... marre d'exporter mon pognon.

Nota ce sont les banques qui font monter le baril de brut, histoire de générer du cash pour les fonds souverains des pays pétroliers.... ceux là même qui viendront au secour des augmentations de capital des mêmes banques (US et GB)..... un échange de bon procédé.
ha oui, au fait, c'est nous qui réglons la note....

si celà fait un manque à gagner ? et si celà cree de la richesse en France ? ça vaut quelque chose ça aussi......