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Re: Revue de Presse

Posté : mercredi 02 mars 2011, 08:57
par bobby
Simca ou Talbot, future marque "low cost" de PSA ?

Le constructeur automobile français protège juridiquement depuis des années ces deux marques historiques afin d'éviter que ses concurrents s'en emparent. PSA pourrait dont être tenté de ressusciter l'une d'entre elles plutôt que de créer une nouvelle marque pour ses futurs véhicules à bas coûts produits en Chine. Une piste jugée crédible par les experts.

C'est la stratégie des petits cailloux. Jour après jour, PSA Peugeot Citroën égrène des brides d'information sur son projet de voiture » low cost ». Ce mardi, on a ainsi appris que si le constructeur se décidait à commercialiser ses futurs modèles à bas coûts chinois en Europe, il se contenterait de les vendre via un site internet. Cette stratégie lui permettrait évidemment de réduire les coûts de distribution.

Pour le choix de la marque sous laquelle seront vendus ces véhicules, PSA pourrait tout aussi logiquement être tenté de recourir à une stratégie "low cost". Il lui suffirait pour cela de puiser parmi celles dont il est déjà propriétaire. Un choix d'autant plus logique qu'il dispose dans son "portefeuille" de deux marques qui ont marqué l'histoire automobile : Simca et Talbot. "A première vue, reprendre un nom ancien, me semblerait le choix plus légitime, surtout en période de crise" observe Frédéric Stenz, un spécialiste de ce que les professionnels du marketing appellent le «naming». "D'autant, ajoute le fondateur de la société Naemes, que la mode est aux marques « revival », regardez ce qu'a fait Renault avec Gordini ou Citroën avec DS."

Petit rappel historique...

Simca (Société Industrielle de Mécanique et Carrosserie Automobile) a été créée peu après la grande récession du début des années 30 avec le soutien de Fiat. Il s'agissait pour les fondateurs de cette marque de lutter contre les mesures protectionnistes en vigueur en Europe. Les Simca n'étaient alors ni plus ni moins que des Fiat made in France. D'origine franco-britannique, la marque Talbot, qui a vu le jour trente ans plus tôt, a été rachetée par Simca en 1958. Dans les années 60, Chrysler qui souhaite prendre pied en Europe entre dans le capital de Simca avant d'en devenir l'unique actionnaire dans les années 70.

En 1978, le constructeur américain est contraint pour des raisons financières de vendre ses actifs européens à PSA qui récupère ainsi trois usines dont celle de Poissy (France) mais aussi ces deux marques françaises que Chrysler a popularisé à l'international et notamment aux Etats-Unis. PSA tentera d'ailleurs à cette occasion de donner une seconde vie à Talbot en sortant quelques modèles dans les années 80, avec notamment la sortie de la Solara et de la Samba. Cette première résurrection sera interrompue en 1986. Voilà pour l'histoire.

Comment PSA a soigneusement protégé Simca et Talbot

Depuis, le groupe a cherché à protéger ces marques afin d'éviter que ses concurrents la récupèrent à bon compte en arguant qu'il ne les exploite pas. Il suffit pour cela de renouveler régulièrement les dépôts auprès des organismes compétents et, pour la forme, de continuer à assurer une production en relation avec la marque. En l'espèce des voitures miniatures pour collectionneurs suffisent à maintenir inattaquables sur le plan juridique ses droits de propriété

Cela dit, le groupe a manifestement davantage investi dans la protection de Simca. Cette marque a fait l'objet de multiples dépôts au niveau international, à commencer par le logo qui, inscrit à la World Intellectual Property Organisation, bénéficie d'une protection juridique sur les 5 continents. Et PSA n'a eu de cesse que de protéger cette marque. En 2007, un Allemand a ainsi tenté de la déposer à l'OHMI, l'office européen assurant une protection des marques au sein de l'Union. Sa requête fut immédiatement retoquée à la demande de PSA. Talbot, en revanche, ne figure pas parmi les marques déposées par PSA à l'OHMI. Elle est néanmoins protégée par une inscription au registre national de l'INPI de même que son logo.

L'hypothèse Talbot mentionnée sur un forum

Difficile néanmoins de dire aujourd'hui si la marque a tranché en faveur de l'un de ces deux noms. Le secret est bien gardé. Dans un forum regroupant des amoureux des deux marques, un internaute, s'appuyant sur des sources internes qu'il ne nomme pas, assure que Peugeot travaille sur l'hypothèse Talbot. Mais rien ne permet de valider cette information. En tout cas, les Chinois ont eux bien flairé le filon. L'an passé les deux marques historiques susceptibles d'être ressuscités sont apparus sur la toile sous les noms de domaines talbot.cn et simca.cn

Source : La Tribune.fr

Re: Revue de Presse

Posté : mercredi 02 mars 2011, 09:15
par bobby
Affaire d'espionnage : Renault s'est expliqué à Matignon

Patrick Pélata, directeur général de Renault, a été reçu à Matignon pour faire le point sur l'affaire d'espionnage présumé au sein du groupe automobile, selon l'agence Reuters.

Ce haut dirigeant du groupe Renault a été "convoqué" par le Premier ministre François Fillon, en présence du ministre de l'Industrie, Eric Besson, pour s'expliquer sur cette affaire, selon Europe 1. Il a dû pour ce faire annuler ses rendez-vous prévus lundi au Salon automobile de Genève, a précisé la radio.

Mais le constructeur comme les services du Premier ministre ont minimisé la portée de la rencontre. "Il y a eu une réunion à Matignon entre Patrick Pélata et un conseiller du Premier ministre à la demande de Renault", a déclaré un porte-parole de Renault. "Cela fait partie des réunions régulières entre la direction de Renault et le gouvernement en tant que premier actionnaire du groupe." Matignon a insisté aussi sur le fait que Patrick Pélata avait été reçu par un conseiller et n'avait rencontré Eric Besson qu'après, et non en même temps. Le ministre de l'Industrie avait, au début de l'affaire, fait part de son mécontentement de n'avoir pas été informé de l'affaire.

Le constructeur automobile a déposé le 13 janvier une plainte contre X pour espionnage industriel en bande organisée concernant sa filière de véhicules électriques. Il vise une "puissance étrangère" qu'il ne nomme pas, ainsi que des sociétés liées à la Chine. Renault a parallèlement licencié trois cadres soupçonnés d'espionnage. Ces derniers clament leur innocence. Leurs avocats affirment que le dossier est vide et dénoncent des licenciements à la légère.

Le Canard enchaîné a révélé fin février que les recherches demandées en Suisse n'avaient pas permis de retrouver trace d'un compte que l'un des trois cadres licenciés est censé avoir possédé pour recevoir le prix de sa corruption. Cet argument ayant été avancé par le constructeur automobile, début janvier, pour justifier les procédures de licenciement, l'affaire a pris une tournure embarrassante pour Renault. Le parquet de Paris a toutefois indiqué qu'il n'avait pas encore reçu la réponse officielle des autorités helvétiques sur l'existence ou non de comptes en Suisse au nom d'un ou plusieurs cadres soupçonnés. Le résultat de la demande d'entraide française est attendu la semaine prochaine, dit-on de source judiciaire.

De son côté, la Direction centrale du renseignement intérieur, chargée de l'enquête, orienterait ses investigations vers un règlement de compte en interne, selon Le Parisien. Les enquêteurs chercheraient à savoir si le "corbeau", auteur de la lettre anonyme qui incriminait les trois cadres, ne serait pas un salarié de l'entreprise cherchant à nuire à l'un des cadres licenciés, Michel Balthazard.

Source : La Tribune.fr

Re: Revue de Presse

Posté : jeudi 03 mars 2011, 08:56
par bobby
Bolloré : "Il est plus facile pour un fabricant de batteries de faire des voitures que l’inverse"

Après plusieurs concepts, le groupe Bolloré présentait à Genève la Blue Car dans sa forme définitive dont la commercialisation débutera en juin. Il annonce une capacité de production de 40 000 unités en 2013.


Alors que ses batteries ont passé des tests techniques positifs avec deux constructeurs, dont le groupe PSA, Vincent Bolloré n’a pas annoncé de débouchés supplémentaires pour ses batteries.
La technologie utilisée par Bolloré nécessitant le maintient à haute température des batteries, elles "seraient adaptées à certains usages mais pas à tous", a dit Philippe Varin, lors d'une table ronde au salon de Genève. Elles ne conviendraient pas à un usage pour des véhicules hybrides destinés aux particuliers notamment, a précisé le président de PSA, tout en reconnaissant qu’elles étaient à un "coût attractif".

Pour Vincent Bolloré, l’avantage de sa technologie (LMP, lithium métal polymère) réside justement dans sa capacité à accepter des températures élevées : "Nous pouvons aller jusqu’à 260° sans problème de surchauffe". A l’inverse, explique-t-il, les constructeurs utilisant une technologie lithium ion doivent gérer "des problèmes de surchauffe". "Pour empêcher les batteries de chauffer, ceux qui utilisent la technologie lithium ion doivent ajouter des systèmes de protection pour refroidir la batterie, ce qui en dégrade l’autonomie", ajoute Vincent Bolloré.
Persuadé que sa technologie est la meilleure, Vincent Bolloré a décidé d’en faire la démonstration d’où l’importance stratégique de son investissement dans Autolib. "Si notre groupe démontre que nous sommes meilleurs nous serons fournisseur des constructeurs", assure-t-il. "Tous sont sur cette technologie lithium ion sauf le Blue bus de Gruau que nous équipons et la Blue Car. Nous verrons dans 18 mois."
A cette date, il devrait avoir livré les 3000 voitures prévues dans le cadre d’Autolib (dont 300 dans deux mois, 2000 d’ici avril 2012) et commencé à livrer les précommandes déjà enregistrées si elles sont confirmées (il en annonce un total de 8000).

Un prix autour de 20 000/25 000 euros
Le prix de vente du véhicule n’a pas été encore annoncé (un abonnement est prévu pour Autolib avec ensuite un coût d’usage de 5 euros la première demi heure, 4 euros la deuxième, 6 euros la suivante), Vincent Bolloré annonce un niveau autour de 20 000/25 000 euros avec une production annuelle de 30 000 à 40 000 voitures par an. Un volume qui correspond à l’évolution de sa capacité de production de batterie actuellement en cours de mise en place dans son groupe. Aujourd’hui à 7 500 unités (dont 5 000 au Canada, 2 500 en France) qui devrait monter à 30 000 en 2013 et 40 000 en 2014. L’usine de Pininfarina qui fabriquera le véhicule possède quand à elle une capacité de 200 véhicules par jour.
"Le problème de stockage de l’électricité est un problème majeur. Le photovoltaïque sort l’électricité le jour quand on en a pas besoin. Bolloré est le leader mondial du stockage de l’électricité", assure son dirigeant.
Un savoir faire spécifique, selon lui plus difficile à acquérir que celui nécessaire à la fabrication de voitures. "Un fabricant de batteries est mieux placé pour fabriquer une voiture électrique qu’un fabricant de voiture", assure Vincent Bolloré.
La deuxième vie des batteries est ainsi un axe fondamental dans sa stratégie et ses perspectives de rentabilité. C’est un élément déterminant de la rentabilité de cette activité pour le groupe Bolloré qui annonce un marché pour les batteries stationnaires de l’ordre de 20 milliards de dollars par an, ce qui serait deux fois plus important celui des véhicules électriques.

Source : Autoactu.com

Re: Revue de Presse

Posté : jeudi 10 mars 2011, 09:09
par bobby
Les hôtesses de Genève 2011 : l'atout charme du salon


http://www.linternaute.com/auto/salons- ... -hotesses/

Re: Revue de Presse

Posté : lundi 14 mars 2011, 10:38
par bobby
Les voitures, prochaines cibles des pirates informatiques
Sécurité


Pour s'introduire dans le système informatique d'une voiture, des chercheurs universitaires américains ont infecté une chanson MP3 lue par un autoradio.

Des chercheurs de l'Université de San Diego, Californie, et de l'Université de Washington ont consacré les deux dernières années à examiner dans les moindres détails les milliers de composants électroniques des systèmes embarqués dans les véhicules récents. Objectif : chercher des failles de sécurité et étudier si elles peuvent être détournées à des fins malveillantes. Dans un nouvel article, ceux-ci affirment avoir identifié un certain nombre de méthodes qu'un pirate pourrait utiliser pour prendre le contrôle d'un véhicule, notamment certaines attaques impliquant la connectique Bluetooth et les systèmes de réseau cellulaire, ou alors en introduisant des logiciels malveillants par l'intermédiaire des appareils de diagnostic utilisés dans les ateliers de réparation automobile.

Un piratage qui passe par l'autoradio

Mais le système d'attaque le plus intéressant développé par les chercheurs a porté sur l'autoradio. En ajoutant du code supplémentaire à un fichier de musique numérique, ils ont réussi à muter une chanson gravée sur CD en cheval de Troie. Pendant la lecture du fichier sur le système stéréo de la voiture, le code pourrait modifier le firmware du système audio et ouvrir une porte d'entrée aux pirates, ce qui leur permettrait d'agir sur d'autres composants du véhicule. Selon eux, ce type d'attaque pourrait se propager sur les réseaux de partage de fichiers sans éveiller de soupçons. « Il est difficile d'imaginer quelque chose de plus inoffensif qu'une chanson, » a déclaré Stefan Savage, professeur à l'Université de San Diego. L'année dernière, le professeur américain et ses collègues chercheurs ont décrit comment fonctionnait le réseau de composants équipant les voitures actuelles. Ils ont également rapporté une expérience de piratage menée en 2009, au cours de laquelle ils ont réussi à endommager définitivement un moteur, verrouiller les portes, déverrouiller les freins et transmettre de fausses informations au compteur de vitesse d'un véhicule test. Pour réaliser cette expérience, ils ont relié un ordinateur portable au système de diagnostic interne du véhicule afin d'y introduire leur code malveillant.

Déverrouiller à distance un véhicule

Leur dernier challenge : trouver un moyen de contrôler la voiture à distance. « Notre article traite des difficultés rencontrées pour accéder aux commandes, » explique le professeur Savage. Au final, le document fait état de plusieurs méthodes pour y parvenir. « En fait, toutes les attaques - via Bluetooth, le réseau cellulaire, les fichiers de musique infectés par un code malveillant et les outils de diagnostic utilisés par les garagistes - ont pu être reproduites à distance, malgré une vraie difficulté à se connecter » indique Stephan Savage. « Mais la meilleure méthode reste celle que nous avons expérimenté en premier, c'est à dire en connectant un ordinateur à l'intérieur du véhicule, » a-t-il ajouté. La recherche met en évidence de nouveaux types d'attaques qui pourraient être utilisées dans le futur. Par exemple, les voleurs pourraient déverrouiller les portes des véhicules à distance et envoyer ses coordonnées GPS et son numéro d'identification à un serveur central. « Un voleur audacieux n'aurait plus besoin de voler les voitures lui-même, mais il pourrait vendre ses services à d'autres voleurs, » déclare Stephan Savage. « Un voleur à la recherche de certains types de voitures dans une zone géographique donnée pourrait demander qu'elles soient déverrouillées et identifiées, » ajoute-t-il. Le rapport des chercheurs ne mentionne pas la marque ni le modèle du véhicule qu'ils ont réussi à pirater en 2009...

Des problèmes de sécurité à venir

Les universitaires ont présenté leurs travaux au Comité de l'Académie nationale des sciences chargé du Contrôle électronique et des accélérations non intentionnelles. Celui-ci a été créé l'an dernier pour étudier la sécurité des systèmes électroniques embarqués dans les véhicules, suite au rappel massif de voitures par Toyota et des rapports faisant état d'accélération involontaire dans des véhicules de la marque. Après coup, ce problème n'était pas lié aux systèmes électroniques, mais a été attribué aux tapis de sol, aux pédales d'accélérateur collantes et à des erreurs de conduite. Compte tenu de l'important obstacle technique à surmonter, les chercheurs pensent que les actes de piratage contre les voitures seront très difficiles à réaliser. Néanmoins, les chercheurs veulent que l'industrie automobile soit consciente des problèmes potentiels que cela pourrait poser. Selon Tadayoshi Kohno, professeur adjoint à l'Université de Washington qui a travaillé sur le projet, le piratage informatique des véhicules « est peu probable. » Néanmoins, celui-ci estime que les clients ordinaires voudront savoir si le véhicule qu'ils achètent tous les cinq ans... sera à l'abri de ces problèmes. »

Beaucoup d'effort pour attaquer un modèle

Les voleurs de voitures sont aussi face à une autre difficulté : les unités de contrôle électronique intégrées sont très différentes d'un véhicule à l'autre. Même si une attaque peut fonctionner sur type de véhicule d'une année donnée, il est peu probable que celle-ci soit utilisable pour un autre modèle. « Pour pirater un seul type de véhicule, il faudra investir beaucoup de temps, d'argent et de ressources, » a déclaré Brian Herron, vice-président de Drew Technologies, une société basée à Ann Arbor, Michigan, qui fabrique des outils pour les systèmes informatiques embarqués. « Ce n'est pas comme le piratage de Windows où il suffit d'exploiter une vulnérabilité mise en évidence. » Selon Stephan Savage et Tadayoshi Kohno, les constructeurs automobiles ont pris leurs travaux et les questions de sécurité qu'ils soulèvent, très au sérieux.

Source : Lemondeinformatique.fr

Re: Revue de Presse

Posté : lundi 21 mars 2011, 15:41
par bobby
Les meilleures publicités automobiles

Du tube Citroen : le 1er monospace au Gps fou de la 207 en passant par la Poire R14



http://www.linternaute.com/auto/magazin ... tomobiles/

Re: Revue de Presse

Posté : lundi 21 mars 2011, 15:46
par bobby
ORECA s'impose aux 12 heures de Sebring


La Peugeot 908 HDI FAP de l'équipe ORECA a remporté la 59ème édition des 12 Heures de Sebring. En GTE, BMW s'impose.

ORECA s’impose une nouvelle fois aux Etats-Unis. Les troupes de Hugues de Chaunac remportent les 12 Heures de Sebring. Nicolas Lapierre, Loïc Duval et Olivier Panis s’imposent au volant d'une « ancienne » Peugeot 908 HDI FAP, la même qui s'était imposée l'an passé. Pour son baptême en course, la HPD ARX-01e du Highcroft Racing marque les esprits. David Brabham, Marino Franchitti et Simon Pagenaud montent sur la seconde marche du podium, et prouvent surtout que la voiture suit le rythme des moteurs Diesel. Enfin, le podium final est complété par une autre Peugeot, l’officielle cette fois, la n°8 du trio Franck Montagny, Stéphane Sarrazin et Pedro Lamy. Partie depuis la pole, la 908 a occupé la première place la majeure partie de l’épreuve. Malheureusement pour la Lionne, un tête à queue de Pedro Lamy hypothèque toutes ses chances de victoire. Même la grosse attaque de Frank Montagny en fin de course n'aura pas suffit pour assurer le doublé à Peugeot. Les trois premiers pilotes terminent la course dans le même tour. Une preuve supplémentaire du niveau de compétition que nous a offert cette 59ème édition des 12 Heures de Sebring.

En LMP2, la Lola-Honda du Level 5 Motorsport n°55 de Scott Tucker, Ryan Hunter-Reay et Luis Diaz s'impose sans grande surprise au terme d'une course sans suspense. L’ORECA-Nissan n°26 de l'équipe Signatech, de Soheil Ayari - Lucas Ordonez - Franck Mailleux, qui avait pourtant réalisé la pole, n'a pas pu transformer l'essai en course. Troisème, l'Oak Pescarolo-Judd pilotée par Andrea Barlesi, Frederic da Rocha et Patrice Lafargue sauve le parcours malheureux du Oak Racing en LMP1.

En GTE, BMW réalise le doublé au terme d'une course d'une grande richesse. La n°56 de Andy Priaulx, Jörg Muller et Joey Hand remporte les 12 Heures de Sebring dans leur catégorie. Ils terminent à la 10ème place du général. A la seconde place, la seconde BMW n°55 de Bill Auberlen, Augusto Farfus et Dirk Werner assure le doublé à la firme bavaroise. La Corvette C6ZR1 n°3, pilotée par Olivier Berreta, Tommy Milner et Antonio Garcia complète le podium.

Source : Autohebdo.fr

Re: Revue de Presse

Posté : vendredi 25 mars 2011, 09:44
par bobby
Salon du Cabriolet, Coupé et SUV : Plaisir et passion font salon ce week-end

http://www.saloncoupecabriolet.com/

Alors qu'on ne parle plus que de CO2 et de sécurité, le salon du Coupé et du Cabriolet invite à profiter du retour du printemps avec des modèles qui décoiffent.

Cabriolets, coupés et SUV : ces trois familles de produits sont synonymes de "voiture plaisir", à une époque où les contraintes sécuritaires et écologiques tendent à rendre l'usage de l'automobile plus difficile. Cette 22ème édition est donc à accueillir comme un rayon de soleil.

Ce salon parisien est l'occasion de découvrir en première nationale des stars déjà aperçues à Genève : la nouvelle Chevrolet Camaro cabriolet, la Mercedes SLK, la Peugeot 308 CC restylée, la nouvelle Golf cabriolet, ou encore chez les coupés le nouveau Veloster de Hyundai.

Les grands constructeurs sont présents (Abarth, Audi, BMW, Honda, Lamborghini, Mercedes, Peugeot, Saab, Volkswagen), mais aussi de plus petits importateurs comme Caterham, Morgan, Technical Studio, Tesla, Westfield, Wiessman...

C'est ainsi que l'on peut découvrir quelques curiosités comme la Lazareth Wazuma : une moto à 4 roues avec son moteur V12.

Des animations sont prévues comme cette grande rétrospective MG pour fêter dignement les 30 ans du MG Club de France. Toute la marque y sera passée au crible avec des modèles des années 30 jusqu'à 2005 (l'année de l'arrêt définitif de la production).

Enfin, le Cabrio Show devrait à nouveau ravir le public. Une trentaine de modèles emblématiques passeront ainsi sur le podium, entourés de mannequins qui présenteront les tendances printemps/été 2011.

Re: Revue de Presse

Posté : mercredi 24 août 2011, 20:30
par Maguy
Petit hommage à notre coupé dans le N°192 de Septembre 2011 d'auto MOTO.

A la page 47, en introduction à l'essai du nouveau Baby Range, l'Evoque, on peut y lire ceci :

"En découvrant ce "baby Range" en avant-première au dernier Mondial de l'automobile de Paris, nous avions déjà eu un choc rétinien. Jamais depuis les Alfa 156 et Peugeot 406 Coupé nous n'avions autant frissonné devant une voiture. Aujourd'hui, le coup de coeur se confirme."

Re: Revue de Presse

Posté : vendredi 24 février 2012, 09:02
par bobby
Renault remet Alpine sur la ligne de départ


Le projet d'une petite voiture de sport légère, qui reprendrait un nom célèbre dans les années 70, doit être examiné dans les semaines qui viennent. En cas de feu vert, la voiture pourrait sortir en 2014.
Carlos Tavares en meurt d'envie. Passionné lui -même d'automobile, le directeur général délégué de Renault nous confirme le projet de "voiture de sport légère" qui recréerait la marque Alpine, championne du monde des rallyes dans les années 70! Le feu vert a failli être donné en fin d'année dernière, mais, devant la chute des ventes en Europe, Renault a reporté la décision. Les spécialistes du constructeur sont en train de recalculer le marché potentiel pour un tel véhicule de niche, avec les volumes de production que l'on peut raisonablement escompter, afin de vérifier sa rentabilité et donc sa faisabilité. Le projet doit être examiné dans les prochaines semaines et une décision sera prise avant la fin du premier semestre, selon nos informations. En cas de décision positive, le nouveau véhicule, qui devrait donner lieu à une gamme, pourrait sortir en 2014.

Le savoir-faire de Nissan

Il accompagnerait la grande offensive préparée par le groupe dans le haut de gamme. Et, quoi de mieux pour souligner ce grand retour que de ranimer un label, dont les exploits sportifs firent naguère vibrer la France entière? Renault peut d'ailleurs profiter pour Alpine de l'expérience avérée de son allié japonais Nissan en matière de voitures de sport. En dehors d'une éventuelle Alpine, Renault va enfin réinvestir avant le milieu de la décennie les créneaux en deshérence des voitures "chères"... Il remplacera ainsi son monospace Espace en 2014 par un véhicule sur une plate-forme commune avec Nissan et Daimler (Mercedes). Deux autres modèles de moyenne gamme supérieure-haut de gamme sont prévus pour remplacer les Laguna et Vel Satis entre 2014 et 2015. Un modèle encore plus cossu, sur une plate-forme Mercedes, devrait en outre être lancé ultérieurement.

Une marque emblématique

Créée par un concessionnaire Renault, Jean Rédélé, à Dieppe (Seine maritime), Alpine a vécu quarante ans d'histoire passionnelle et... mouvementée. Tout démarre en 1955 avec un petit coupé, présenté au salon de Paris sous le nom de " Alpine Mille Miles" , qui repose sur une modeste base de 4CV avec une carrosserie en polyester légère et aérodynamique. Tout Alpine est déjà là. La Berlinette A108 est dévoilée pour sa part en 1960. Un véhicule-clé, qui servira de base à la très célèbre Tour de France A1 en 1962. Elle devient la voiture sportive française par excellence, chère, délicate à piloter, exiguë, mais d'une légèreté et d'une agilité phénoménales. Ce sont ces atouts qui lui permettront de contrer efficacement les Porsche, bien plus puissantes. Alpine remporte enfin le titre mondial des rallyes en 1973. L'heure de gloire.

L'échec du Porsche à la française

Pour devenir le Porsche à la française dont on parle déjà, Jean Rédélé comprend vite qu'il lui faut sortir une voiture plus vaste, plus cossue, moins difficile à conduire. Ce sera l'A310, présentée au salon de Genève en 1971. Cette A310 héritera ensuite d'un moteur V6. Mal finie, dotée d'une motorisation moins noble que la concurrence, elle n'aura pas le génie de la Berlinette, malgré ses qualités indéniables. Le déclin s'amorce. L'A310 sera remplacée en 1985 par la GTA. Entre-temps, Renault aura repris Alpine et ajouté à la gamme une petite R5 Alpine, au milieu des années 70. Cette simple R5, juste plus puissante et légèrement modifiée, concurrencera (mal) la nouvelle Golf GTI, une bombinette qui deviendra fameuse, elle, dans le monde entier.

En 1991, Renault sort l 'A610 avec un V6 turbocompréssé de 250 chevaux. Las. Les ventes resteront confidentielles. En France, ce marché des GT n'est pas porteur à cause d'une fiscalité dissuassive (déjà!) et des limitations de vitesses. Et, à l'étranger, le nom d'Alpine n'évoque plus rien, car la marque s'est retirée à la fin des années 70 de la compétition. Et puis, Renault a d'autres chats à fouetter... Pour ne rien arranger, la qualité et la fiabilité sont franchement mauvaises. Inacceptable à ces niveaux de prix, quand on veut rivaliser avec les labels mondiaux les plus prestigieux. Du coup, en 1995, Renault annonce la fin d'Alpine, dans l'indifférence générale! Vite, on attend une renaissance pour que l'automobile française fasse de nouveau rêver...

Source : La Tribune

Re: Revue de Presse

Posté : jeudi 12 avril 2012, 05:22
par amadeous
PSA Peugeot-Citroën devrait arrêter de fabriquer des gros diesels


PSA Peugeot-Citroën a déjà arrêté de fabriquer des moteurs essence d'une cylindrée supérieure à 1,6 litres. Finis l'ancien V6 de 3 litres et le 4 cylindres de 2 litres.
Du côté des diesels, le groupe produit avec Ford des 1600 en très, très grande série, et ceci va continuer. Mais les voitures équipées du V6 HDI ne se vendent plus qu'au compte goutte. Et sur les Citroën C5 et Peugeot 508, les 4 cylindres 2 litres/2,2 litres sont proposés à côté des diesels 1600. Pour peu que PSA parvienne à développer une version 130/140 ch de son 1600 diesel, le 2 litres sera vite marginalisé. Surtout si PSA ajoute une touche d'hybride, comme il a déjà montré qu'il en était capable avec le 2 litres, sur les Peugeot 3008 et 508, ainsi que sur la Citroën DS5.

Re: Revue de Presse

Posté : vendredi 13 avril 2012, 17:37
par Maguy
amadeous a écrit :
PSA Peugeot-Citroën a déjà arrêté de fabriquer des moteurs essence d'une cylindrée supérieure à 1,6 litres. Finis l'ancien V6 de 3 litres et le 4 cylindres de 2 litres.

En Europe....

PSA continue de produire en Chine un 2.3 essence pour motoriser la C5 sur la marché local ;)

Re: Revue de Presse

Posté : vendredi 13 avril 2012, 19:00
par amadeous
Maguy a écrit :
amadeous a écrit :
PSA Peugeot-Citroën a déjà arrêté de fabriquer des moteurs essence d'une cylindrée supérieure à 1,6 litres. Finis l'ancien V6 de 3 litres et le 4 cylindres de 2 litres.

En Europe....

PSA continue de produire en Chine un 2.3 essence pour motoriser la C5 sur la marché local ;)
Oui, tout a fait. L'article ne concerne que l'Europe. :1:

Re: Revue de Presse

Posté : mercredi 18 avril 2012, 21:55
par ALAIN60
Je ne suis pas près de rouler dans une Peugeot à mazout....même hybride. Producteur de NOx et particules, même à faible dose.
Faudra que j'essaie le 1.6 THP 200 et bientôt 260ch mais çà ne vaut pas un V6.

Re: Revue de Presse

Posté : lundi 28 mai 2012, 08:45
par bobby
Peugeot renouvelle sa numérotation en s'arrêtant au 8

En parallèle à l'introduction de la 301 dans sa gamme, Peugeot a décidé de stabiliser les appellations de ses modèles se terminant en "8" pour leurs futurs renouvellement.


Le lancement de la 301 est l'occasion pour Peugeot de débuter une nouvelle ère dans la numérotation de ses modèles. Mais que les fans de la marque se rassurent : le système à trois chiffres avec le zéro central, inauguré en 1929 avec la 201, n'est pas mis au rebut.

Seulement, Peugeot arrivait en fin de cycle avec sa gamme "8", sachant qu'il fallait renouveler la 308 l'année prochaine. Comment l'appeler ?
- 309 : pas possible ce numéro avait déjà été utilisé dans les années 80, donc trop récemment. Et puis après le 9, comment la marque aurait-elle fait ?
- 301 : Ce retour au départ fut un temps évoqué. Mais finalement, la nouvelle Peugeot 301 (après l'originale de 1932) est un modèle entièrement nouveau, une compacte 4 portes à destination des marchés émergents. Elle ne remplace donc pas la 308.



Peugeot a trouvé la solution en décidant que désormais, ses modèles ne changeront plus de nom après être arrivé au "8". Donc lorsque la 108 sera sortie, toute la gamme sera figée : la remplaçante de la 308 s'appelera... 308 ; la remplaçante de la 208 s'appelera... 208 ; la remplaçante de la 508 s'appelera... 508 ; etc.

Les nouveaux modèles à destination des marchés émergents porteront quant à eux un numéro se terminant par "1". Ainsi, il est probable que des Peugeot 201 et autre Peugeot 401 voient le jour dans les prochaines années.

Désormais donc, il y aura des Peugeot se terminant en "1"et des Peugeot se terminant en "8", nommés selon la même structure :
- Le premier chiffre qui situe le segment du véhicule
- Le 0 (ou double 0) identitaire de Peugeot au centre
- Le dernier chiffre qui sera un 1 ou un 8

Le système de numérotation des modèles chez Peugeot a évolué à la fin des années 90 en intégrant des doubles lettres pour qualifier des silhouettes dérivées (CC, SW) et s'est enrichi en 2005 avec le double zéro central (5008, 3008, etc.) qui qualifie les modèles d'architecture haute comme les SUV, les monospaces et les crossovers.

Source : autosource.fr