Re: peut etre une
Posté : vendredi 12 septembre 2008, 07:21
C'est vrai, je ne fais pas vraiment de distinction entre BVA et BVMP. Dans certains cas, je ne suis même pas certain du type exact de boîte que j'ai eu en main. J'en ai pourtant testé pas mal : Mercedes, Ford, Audi, Alfa, Jaguar, Chrysler, Lexus, etc. La Peugeot est la seule qui m'ait mis en difficulté en ne me permettant pas d'exploiter le moteur quand j'en ai eu besoin. Aucune autre ne m'a ainsi mis dans l'embarras, et pourtant je n'ai pas épluché le mode d'emploi de chaque modèle.
A ma connaissance, la boîte DSG n'est plus proposée chez Audi. Elle a été remplacée par la S-tronic. Je ne sais pas ce qu'elle vaut, je ne l'ai jamais testée. Par contre, j'ai eu l'occasion de conduire la R-tronic. Elle répond exactement aux critères que tu décrivait Nicolas : boîte à caractère très sportif, donc brûtale, la rendant désagréable à bas régime, mais ultra-efficace dans les tours. Ce n'est pas le cas de la DSG, qui reste souple dans toutes les situations. Sa principale caractéristique, c'est son double-embrayage, ce qui la classe en fait dans une catégorie à part, qui n'est ni BVA ni BVMP (dites AMT pour "automated manual transmission", également souvent appelées "boîtes robotisées"), mais c'est une DCT (pour "dual clutch transmission"). En fait, il semble que la DSG ait été desservie par le manque de sensation qu'elle distillait, tellement elle était efficace, d'où son remplacement par la S-Tronic, également du type DCT.
Pour rester dans un domaine comparable, j'ai eu durant quelque temps une Mercedes classe E en diesel automatique. Sans être un foudre de guerre, c'est nettement plus souple et plus réactif que le coupé 407 Peugeot, pourtant plus puissant. C'est sûr que, chez Mercedes, j'ai préféré la SL-55 AMG, mais on ne joue plus dans la même cour. Pour revenir dans le même domaine, j'ai aussi eu une Alfa 159 1.9 DCi durant une semaine, je l'ai utilisée aussi bien sur autoroute qu'en conduite parisienne, et elle ne m'a jamais fait défaut.
Cela étant, aucune de ces boîtes, si perfectionnée soit-elle, ne m'a convaincu de renoncer aux BVM, dont le pilotage fait partie intégrante du plaisir de conduite, du moins lorsqu'elles sont bien adaptées à la voiture. C'est vrai que celle du coupé 406 n'est pas non plus un modèle de précision, ce qui explique peut-être aussi le succès des BVA dans la marque : entre deux maux...
A ma connaissance, la boîte DSG n'est plus proposée chez Audi. Elle a été remplacée par la S-tronic. Je ne sais pas ce qu'elle vaut, je ne l'ai jamais testée. Par contre, j'ai eu l'occasion de conduire la R-tronic. Elle répond exactement aux critères que tu décrivait Nicolas : boîte à caractère très sportif, donc brûtale, la rendant désagréable à bas régime, mais ultra-efficace dans les tours. Ce n'est pas le cas de la DSG, qui reste souple dans toutes les situations. Sa principale caractéristique, c'est son double-embrayage, ce qui la classe en fait dans une catégorie à part, qui n'est ni BVA ni BVMP (dites AMT pour "automated manual transmission", également souvent appelées "boîtes robotisées"), mais c'est une DCT (pour "dual clutch transmission"). En fait, il semble que la DSG ait été desservie par le manque de sensation qu'elle distillait, tellement elle était efficace, d'où son remplacement par la S-Tronic, également du type DCT.
Pour rester dans un domaine comparable, j'ai eu durant quelque temps une Mercedes classe E en diesel automatique. Sans être un foudre de guerre, c'est nettement plus souple et plus réactif que le coupé 407 Peugeot, pourtant plus puissant. C'est sûr que, chez Mercedes, j'ai préféré la SL-55 AMG, mais on ne joue plus dans la même cour. Pour revenir dans le même domaine, j'ai aussi eu une Alfa 159 1.9 DCi durant une semaine, je l'ai utilisée aussi bien sur autoroute qu'en conduite parisienne, et elle ne m'a jamais fait défaut.
Cela étant, aucune de ces boîtes, si perfectionnée soit-elle, ne m'a convaincu de renoncer aux BVM, dont le pilotage fait partie intégrante du plaisir de conduite, du moins lorsqu'elles sont bien adaptées à la voiture. C'est vrai que celle du coupé 406 n'est pas non plus un modèle de précision, ce qui explique peut-être aussi le succès des BVA dans la marque : entre deux maux...